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    Le Maroc, pays ouvert sur deux  façades maritimes, se trouve à l'intersection de plusieurs civilisations et occupe, à ce titre, une place stratégique dans les circuits d'échange. Pays  jouissant de la stabilité économique et politique, le Maroc est appelé à jouer un rôle primordial dans le cadre des équilibres internationaux, en facilitant et en catalysant les transferts de technologie et en contribuant au développement des relations régionales et internationales.

    C'est dans ce cadre que s'inscrivent les efforts déployés par l'Etat pour la mise à niveau des infrastructures de base, afin d'être en mesure, à court terme, de satisfaire les besoins d'une mondialisation imminente et de  permettre au pays de jouer son rôle d'interface entre le Nord, le Sud, l'Est et l'Ouest.

    Les autoroutes constituent à cet égard un levier qui permet de mieux accompagner le rythme du développement imposé par les conjonctures internationales. Le rôle que les autoroutes jouent sur le plan économique et en matière d'aménagement du territoire est très appréciable, dans la mesure où elles contribuent à la modernisation des transports terrestres et réduisent les charges d'exploitation des véhicules.

    Les autoroutes au Maroc

    La construction des autoroutes au Maroc vient répondre à plusieurs besoins socio-économiques qui s'intègrent  dans une large politique de développement du pays. De tels équipements sont toujours dictés par les impératifs d'une modernisation accélérée, souvent accompagnée par des mutations de l'environnement économique.

    La prise de conscience progressive qui mène vers la considération du facteur temps dans toutes les équations qui régissent les processus de production dans tous les domaines d'une part, et l'intérêt à apporter à la mobilisation autour des problèmes de sécurité de la circulation routière d'autre part, font que le développement du réseau autoroutier et son exploitation deviennent des éléments centraux dans les stratégies d'adaptation des infrastructures et de l'amélioration de leur niveau de service.

    Ces deux facteurs clés, le temps et la sécurité, conditionnent la réussite des investissements qui déterminent le niveau de développement des nations et, de là, leur intégration dans l'architecture économique internationale.

    Conscient de l'importance des infrastructures de base au niveau du développement économique des pays, l'Etat marocain a consolidé ses efforts dans ce domaine par le démarrage d'un programme de construction des autoroutes depuis la décennie 1980.

    Pour ce faire, et compte tenu de l'importance du schéma directeur autoroutier, il a été jugé nécessaire de créer un organisme qui serait investi de la mission de construction et d'exploitation des autoroutes du Maroc.

    C'est ainsi que la Société Nationale des Autoroutes a vu le jour le 12 juin 1989, pour permettre le développement du réseau autoroutier. D'une longueur actuelle de 475 km, ce réseau autoroutier, concédé à ADM par l'Etat, vient répondre à plusieurs objectifs, dont la sécurité des usagers de la route et l'atténuation du fléau des accidents de la circulation.

    Ces paramètres sont pris en charge par les études de conception des axes autoroutiers d'une part, et au niveau de l'exploitation des sections en service d'autre part. La sécurité des usagers occupe, par conséquent, une place centrale parmi les préoccupations d' ADM.

    Si la construction des autoroutes revêt un caractère important, leur exploitation doit être faire l'objet d'une grande attention dans la mesure où elle agit sur deux leviers principaux :

    • la pérennité de l'infrastructure
    • la sécurité de la circulation.

    Ces deux éléments sont suffisants pour faire de l'exploitation du réseau autoroutier un métier noble et une tâche capitale qui reflète et traduit le niveau du développement du pays.

    La sécurité sur les autoroutes

    Le problème de la sécurité est le centre des préoccupations des autorités, de l'exploitant et de l'usager.

    Le fléau des accidents de circulation continue à générer des dégâts humains et matériels importants et à affecter, par conséquent, l'économie du pays.

    Ce phénomène ne peut être éradiqué que dans le cadre d'une politique générale qui prévoit une synergie des actions de l'ensemble des opérateurs en relation avec la circulation routière. La réalisation de cet objectif passe désormais par la mobilisation des moyens indispensables à l'amélioration des conditions de sécurité en agissant sur plusieurs facteurs, notamment la signalisation, les dispositifs de sécurité, la sensibilisation des usagers, l'entretien des infrastructures et de leurs dépendances, le traitement de l'environnement, etc. C'est dans ce cadre que s'inscrivent les actions d'ADM concernant l'exploitation du réseau autoroutier qui lui est concédé.

    La mission de l'exploitation a toujours était l'une des priorités de la société, qui fait de la satisfaction des usagers un objectif autour duquel s'articule sa raison d'être.

    Toutes les actions entreprises dans le domaine de l'exploitation intègrent les dimensions de la sécurité, de la pérennité de la circulation et du confort de l'usager. Les efforts déployés doivent, par conséquent, converger vers une diminution des accidents de circulation et l'allégement des incidences de ce phénomène sur l'économie.

    Il reste cependant nécessaire de rappeler que la maîtrise de la sécurité reste tributaire, en plus des efforts  déployés par les exploitants des différentes infrastructures, de la prise de conscience des tiers et de l'implication des pouvoirs publics, seuls garants du respect des lois de la circulation. La sécurité sur les axes autoroutiers est conditionnée par la maîtrise des trois éléments principaux :

    • la signalisation et l'entretien des infrastructures
    • le comportement et la psychologie de l'usager
    • le comportement des riverains.

    Le niveau des équipements des axes autoroutiers est maîtrisable, d'autant que l'organisation de la société, qui prévoit des centres d'exploitation dans le cadre de sa décentralisation, permet de suivre instantanément l'état du réseau et d'intervenir efficacement et dans un délai raisonnable pour éliminer toute source de défaillance sur le plan de la sécurité.

    Le système d'exploitation prévoit des équipes d'assistance et des équipes d'entretien qui sont en service 24h/24 et qui disposent des moyens humains et matériels leur permettant de s'acquitter convenablement des tâches qui leur sont assignées.

    Parallèlement à ces actions, le système prévoit également des entretiens périodiques qui touchent le renouvellement de la signalisation horizontale et verticale, les dispositifs de sécurité et d'information, le traitement de l'environnement, etc. L'ensemble de ces actions mobilise des enveloppes budgétaires importantes, allant jusqu'à 60.000.000 dirhams par an. Ces enveloppes ne prennent pas en compte toutes les charges d'exploitation et se limitent aux opérations en liaison directe avec l'entretien et la sécurité.

    Il est nécessaire que ces efforts déployés par ADM dans un domaine maîtrisable soient consolidés par une mobilisation générale autour du développement d'une culture qui doit accompagner la modernisation de nos infrastructures et aboutir à l'atténuation du fléau des accidents de la circulation.

    Les principaux indicateurs de la sécurité

    L'exploitation de toute infrastructure repose sur la fixation d'objectifs liés, d'une part, à la satisfaction de l'usager et, d'autre part, à la contribution au développement régional.

    Le nombre d'accidents demeure un paramètre incontournable dans la mesure du niveau de sécurité des réseaux routiers et autoroutiers. Les performances de ces infrastructures doivent répondre aux objectifs de réduction des victimes des accidents de la circulation. Bien que les facteurs qui contribuent à ce fléau soient très divers, l'infrastructure reste communément la plus désignée.

    Dans ce cadre, les autoroutes, par leurs caractéristiques, leurs équipements et les conditions de leur exploitation, constituent l'une des solutions pour atténuer le phénomène des accidents de la circulation en rase campagne.

    Les autoroutes sont moins accidentogènes que le réseau routier ordinaire. Toutefois, comparés aux standards internationaux, notre réseau autoroutier présente encore des taux assez élevés en raison de l'interaction de plusieurs paramètres.

    1- L'organisation

    Toutes les actions entreprises par la Société Nationale des Autoroutes du Maroc, dans le cadre de ses activités d'exploitation, sont liées à la sécurité et au confort de l'usager. L'atteinte de cet objectif impose par conséquent  une gestion de proximité pour une meilleure efficacité et une plus grande rapidité des interventions au service de l'usager.

    L'organisation en centres d'exploitations gérant des sections d'autoroutes de 80 Km en moyenne, assistés par une structure d'appui au niveau du siège, répond convenablement à cet objectif.

    Les centres d'exploitation s'occupent du péage, de la viabilité, de l'entretien, de la signalisation, des équipements de sécurité, de l'assistance, etc. Ils sont dotés du personnel d'exécution de maîtrise et d'encadrement nécessaire pour s'acquitter de ces tâches dans les meilleures conditions. Ils sont dotés également du matériel et des équipements leur permettant de suivre instantanément l'activité sur le réseau 24h/24h.

    Ces équipes sont organisées en centres d'exploitation, avec une structure d'appui au niveau central, et s'intègrent dans les organigrammes suivants.

    Les équipes d'assistance constituent le pôle autour duquel s'articulent les activités du centre en matière de sécurité.

    Equipées d'un système radio, elles sont chargées de patrouiller sans arrêt, 24h/24h, sur les sections autoroutières couvertes par le centre d'exploitation. Ainsi, chaque point de l'autoroute est contrôlé chaque 45 mn et l'état du réseau est communiqué d'une manière automatique à l'opérateur radio chaque 10 mn, ce qui n'empêche pas de signaler instantanément tout événement qui se produit sur l'axe. Ce système permet d'avoir l'information au moment opportun, de la traiter, de prendre la décision qui s'impose et d'intervenir rapidement et efficacement.

    Chaque centre d'exploitation est doté des moyens matériels suivants :

    • un parc automobile de 12 véhicules
    • un lot complet de matériel d'assistance et de balisage
    • un réseau radio de communication et des équipements téléphoniques
    • une remorque pour le transport du matériel de signalisation en cas de déviation du trafic
    • un groupe électrogène sur remorque avec mât d'éclairage pour les interventions particulières pendant la nuit.

    Cette structure joue un rôle très important au niveau de la sécurité, dans la mesure où elle permet la circulation rapide de l'information, son analyse et son traitement et, de là, la rapidité de réaction à tout événement se produisant sur l'autoroute, notamment la mobilisation des secours, l'organisation de l'assistance, le dégagement de la chaussée, l'organisation de la circulation, le balisage des obstacles, etc. La mobilisation de ces moyens humains et matériels consolide les efforts déployés pour garantir la sécurité et concrétiser l'intérêt qui lui est accordé, et permet d'atteindre les indicateurs suivants :

    2- Equipements

    La sécurité des usagers est également synonyme d'investissement au niveau de la signalisation, des équipements de sécurité, du traitement de l'environnement et du confort offert à l'usager le long des axes autoroutiers. Le niveau du traitement de tous les paramètres précités représente le baromètre qui renseigne sur l'évolution de l'indicateur principal, qui est le nombre d'accidents et leur degré de gravité. Il faut préciser cependant que, nonobstant les causes des accidents liées à d'autres phénomènes que l'infrastructure, l'élimination du risque lié au réseau constitue déjà un résultat très positif. Hormis les dégradations qui peuvent les affecter par des actions anthropiques, ces éléments sont maîtrisables et peuvent être convenablement traités pour répondre aux objectifs de sécurité.

    Une bonne signalisation horizontale et verticale, des panneaux de jalonnement lisibles et bien entretenus, des glissières de sécurité implantées conformément aux normes de sécurité, une chaussée de qualité répondant aux impératifs des vitesses autorisées en matière de stabilité et d'adhérence, contribueront sans aucun doute à la diminution du risque d'accident.

    Ces paramètres constituent pour ADM une priorité et un créneau principal qui sert de passerelle vers l'atteinte des objectifs de sécurité des usagers.

    Chaque année, un budget important, allant jusqu'à 60.000.000 dhs, est alloué à l'ensemble de ces activités qui convergent vers la sécurité et le confort de l'usager. Cette enveloppe fait que l'indicateur d'entretien et de viabilité atteint 190.000 dh/Km. Cet indicateur dépend bien sûr de la rentabilité du réseau, de son niveau de services et du taux d'amortissement de l'infrastructure. L'analyse détaillée des accidents sur le réseau autoroutier laisse apparaître une prédominance des causes liées à l'état des véhicules, avec 35 %, suivies par le non respect du code de la route, avec 31 %. Les obstacles sur chaussée interviennent pour 10%. Ceci permet de démontrer que les actions entreprises dans des domaines maîtrisables, comme l'amélioration des éléments liés à l'infrastructure, aboutissent toujours à des résultats satisfaisants. Cependant, la dimension humaine reste difficile à modéliser et nécessite par conséquent plus de temps pour être maîtrisée. Le comportement des riverains au niveau des axes autoroutiers constitue une origine incontestable des accidents mortels. Le non respect de la loi 4/89 sur les autoroutes, qui interdit la circulation à pied sur les autoroutes, les arrêts prolongés sur les bandes d'arrêt d'urgence, la traversée des animaux, etc. amoindrit tous les efforts déployés pour garantir le niveau souhaité de sécurité. Les actes de vandalisme de la signalisation et la destruction volontaire de la clôture limitant les axes autoroutiers contribuent à l'augmentation du risque d'accidents. Chaque année, la société remet en place des linéaires importants de clôture et ne ménage aucun effort pour maintenir l'autoroute protégée malgré la rapidité de la destruction par les riverains. Les chiffres avancés pour l'entretien de la clôture illustrent bien cette réalité.

    Parallèlement aux actions menées au niveau des équipements, ADM déploie des efforts importants sur le plan de la sensibilisation des usagers pour la contribution au développement de la culture autoroutière au niveau national.

    Dans ce cadre, ADM a joué un rôle très important dans la campagne de gonflage des pneus en installant trois stations de gonflage au niveau des gares de péage de Bouznika et de Sidi El Yamani et en sensibilisant les  usagers à la vérification de la pression de leurs pneus dans toutes les gares. Il est à noter que l'éclatement des pneus constitue une cause fréquente dans les accidents recensés. L'année 2000 a également vu l'édition d'un guide intitulé "Conduire sur autoroute en toute sécurité". Ce guide définit, en matière de sensibilisation, ce qu'est une autoroute, traite les aspects de préparation du voyage, les règles spécifiques à la circulation sur autoroute, rappelle la signalisation et illustre par des photos les principaux comportements sur une autoroute. Ces montants doivent être complétés par ceux relatifs à la mise à niveau de la chaussée, à l'amélioration de l'assainissement, à la stabilité des talus, au traitement de l'environnement, etc.

    Ces travaux, qui contribuent à l'amélioration de la sécurité, sont évalués, pour l'année 2002, à plus de 50.000.000,00 dirhams.

    3- Evolution du taux des accidents

    Le taux d'accidents et les paramètres qui lui sont liés, notamment le nombre des tués, de blessés et les dégâts matériels, n'est pas dû uniquement à des défaillances au niveau des structures. L'analyse des statistiques fait ressortir plusieurs causes qui sont à l'origine des accidents, en l'occurrence le non respect du code de la route (l'excès de vitesse, la somnolence...), l'état mécanique des véhicules en circulation (l'éclatement des pneus...),

    le comportement du conducteur, etc.

    Ces éléments, qui dépendent en partie des cultures individuelles et parfois collectives, sont difficiles à maîtriser et continuent à rabaisser les objectifs fixés par les organismes intervenant dans l'acte de la sécurité routière.

    Les actions entreprises dans ce domaine ne peuvent s'articuler qu'autour de campagnes de sensibilisation espacées dans le temps et dans l'espace, de la médiatisation de certains événements graves et du confortement du rôle de la police de roulage. Tout cela doit normalement contribuer à une prise de conscience générale qui conduira au respect des conditions de sécurité et à l'éradication du fléau des accidents de la circulation.

    Sur les axes autoroutiers, les statistiques montrent que le taux des accidents et tous les indicateurs qui lui sont liés sont en décroissance notable, les sections nouvellement mises en service étant celles qui en comptent le nombre le plus élevé.

    Ce constat est le résultat des efforts déployés par l'ensemble des organismes qui se mobilisent autour de la sécurité routière et de l'adaptation des usagers à ce type d'infrastructure.

    En effet, l'autoroute offre plus de sécurité et, malgré une augmentation de trafic relevé sur le réseau, le nombre d'accident va en diminuant, ce qui confirme l'intérêt de l'autoroute sur le plan de la sécurité.

    4- Analyse

    Il est important de lier ce fléau des accidents aux causes qui le génèrent, car les actions qui doivent être menées pour améliorer la sécurité sur les infrastructures routières ne peuvent pas se dissocier des éléments de base qui l'affectent.

    Le système d'exploitation des autoroutes du Maroc permet de tenir des statistiques fiables et exhaustives de tous les événements qui se produisent sur les axes autoroutiers. Les accidents sont recensés dans des fiches spécifiques qui retracent l'événement depuis sa constatation jusqu'à la remise en état du réseau. Les équipes d'assistance équipées de systèmes radio, et bientôt de GPS, sont en mesure d'intervenir rapidement et d'informer les services concernés.

    Toutes les données sont relevées sur place de manière exhaustive, aussi bien sur les conditions de l'accident que sur l'environnement climatique et structurel.

    L'analyse de ces rapports permet de classer les accidents selon les causes qui les ont générés et, de là, d'examiner les actions qu'il faut entreprendre et les solutions à envisager.

    Les causes des accidents sont très diversifiées mais peuvent être rangées dans quatre grandes familles :

    • le non respect du code de la route
    • l'état mécanique des véhicules
    • le comportement des usagers
    • les obstacles sur chaussée.

    Conclusion

    La sécurité routière doit être considérée comme un facteur économique et un indicateur du niveau de développement du pays. Elle agit sur ces deux composantes par l'ampleur des dégâts que le fléau des accidents génère au niveau des infrastructures économiques, de la valeur des vies humaines et des compétences des victimes de ces accidents, des pertes économiques en termes de matériel et de marchandises, etc.

    Cette situation influence les investisseurs et retarde le développement du pays car, à côté de la stabilité économique et politique, l'ouverture à l'investissement national et étranger reste conditionnée par l'existence d'infrastructures et leur sécurité. Parmi ces infrastructures, le réseau routier et autoroutier constitue le moyen de communication le plus important, drainant la quasi-totalité du trafic de marchandises et assurant la mobilité des biens et des personnes. Il devient impératif, par conséquent, qu'une mobilisation générale ait lieu autour de ce thème d'actualité qui se trouve au centre des débats nationaux et internationaux. Tous les intervenants dans le domaine de la sécurité routière doivent mobiliser les moyens humains et matériels pour contribuer efficacement à l'atténuation des effets néfastes du fléau des accidents de la circulation. La Société Nationale des Autoroutes du Maroc, à travers les actions qu'elle a entreprises en matière de sécurité, et qu'elle développe davantage encore, a réussi à diminuer l'importance de ce phénomène. Elle continuera, dans le cadre de l'intérêt qu'elle accorde à l'activité d'exploitation, d'agir sur tous les leviers qui contribuent à améliorer les conditions de sécurité, entre autres les équipements de sécurité, le traitement de l'environnement, la signalisation, l'assistance, l'entretien des clôtures limitant les emprises, etc.

     

    Source : La revue de la Gendarmerie Royale, N°3, Octobre 2003


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