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    Le Real Madrid, en tête de sa poule avec 2 matches gagnés, veut continuer son sans-faute, mercredi à Dortmund, tout en se méfiant d'un champion allemand certes pas au mieux mais capable d'un exploit européen, lors de la 3e journée de la Ligue des Champions.

    Pour ce duel contre le Borussia, 2e du groupe D avec 4 points, les Merengue se heurtent à deux contraintes: une statistique très défavorable chez les clubs allemands avec seulement 1 victoire en 23 déplacements, et une défense très diminuée après les forfaits de Marcelo, Coentrao et Arbeloa.

    Le Real prend donc très au sérieux cette rencontre, Mourinho ayant même, selon Marca, commandé un rapport spécial sur Reus, buteur allemand à Manchester City (1-1).

    Mais les Merengue, motivés par la perspective d'enfin glaner cette 10e Coupe d'Europe qui les fuit depuis 2002, abordent aussi ce match avec l'assurance d'un dernier match de Liga, remporté sans grand brio contre le Celta Vigo (2-0) mais qui a prouvé qu'ils pouvaient surmonter ces absences défensives.

    Jose Mourinho devrait rester fidèle au plan B trouvé face au Celta Vigo: une charnière Pepe-Varane, Ramos retrouvant ses anciennes amours côté droit et le milieu Essien jouant les hommes à tout faire à gauche.

    Avec le jeune Varane (19 ans), qui explose littéralement chez les Blancs, ils devraient y avoir deux Tricolores sur la pelouse puisque Benzema, préservé contre le Celta, devrait réapparaître aux avant-postes avec l'inévitable Ronaldo.

    Mission impossible ?

    Sur le papier, la mission parait impossible pour Dortmund. Choqué par Schalke (1-2) samedi dans le derby de la Rhur, largué à 12 points du Bayern en Bundesliga, le Borussia n'est jamais sorti vainqueur de ces 5 derniers duels face à des clubs espagnols dans son Iduna Park.

    Si l'on ajoute les incertitudes qui planent sur des joueurs-clés comme le génial Götze, le latéral Schmelzer et le ratisseur Gündogan, à l'absence de l'infatigable milieu Blaszczykowki, c'est un véritable casse-tête auquel est confronté l'entraîneur Jürgen Klopp!

    Si le patron du club s'inquiète de "l'impact mental de la défaite dans le derby", le défenseur central Mats Hummels assure que l'équipe "va montrer un tout autre visage contre le Real".

    Tous rêvent en fait de rééditer l'exploit de Manchester, avec cette victoire échappée à la 90e minute, pour survivre au "groupe de la mort" et poursuivre l'aventure européenne en compensation d'un 3e titre national de rang visiblement envolé.

    Pour cela, "il faudra être meilleur dans tous les domaines, oublier le match de Schalke et montrer ce dont on est capable", a répété Klopp dont l'espoir passe par une présence de Götze aux manettes, d'exploits de "Rolls-Reus" et du canonnier Lewandowski et, encore plus important, un rideau défensif aussi solide que contre City puis l'Ajax (1-0).

    Pour le directeur sportif Michael Zorc, l'espoir vient aussi du fait que "l'on joue contre une équipe qui a la pression de gagner la Ligue des champions..."

    Source : http://fr.news.yahoo.com


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    La Fédération suédoise de football enquête pour savoir dans quel club jouait Zlatan Ibrahimovic à 12 ans, avec à la clé des indemnités conséquentes, a indiqué à l'AFP un porte-parole mercredi.

    "Une vérification pour savoir si les informations actuelles sont correctes ou non est en cours. L'enquête est menée par la section des compétitions", a écrit à l'AFP ce porte-parole, Staffan Stjernholm, confirmant des informations du quotidien suédois Sydsvenskan.

    L'enjeu total d'après ce journal est de 3,5 millions de couronnes (plus de 400.000 euros).

    Officiellement, c'est au FBK Balkan que jouait en 1993 l'actuel capitaine de la sélection suédoise, et c'est donc ce club qui touche l'indemnité réservée aux clubs ayant formé à partir de l'âge de 12 ans un joueur professionnel.

    Mais un autre club de Malmö, le BK Flagg, conteste cette version. Il se dit conforté par le joueur lui-même, qui selon des dirigeants cités par Sydsvenskan a donné cette version à la Fédération.

    Ibrahimovic ne s'est pas exprimé publiquement sur la question.

    Le président du FBK Balkan, Ivan Milosevic, dit pour sa part qu'il était dans l'équipe d'Ibrahimovic en 1993. "C'est complètement dingue (...). Peut-il me regarder dans les yeux et dire que ce qu'il affirme aujourd'hui est véridique ?", a-t-il déclaré à Sydsvenskan.

    Le journal a indiqué qu'une réunion entre les dirigeants des deux clubs mardi n'avait rien donné.

    Source : http://fr.news.yahoo.com


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    Dans une longue interview, forte intéressante, accordée au site The Voice of Russia, un membre des Anonymous, qui dit pouvoir parler en leur nom, a répondu à différentes questions sur la façon dont le groupe considèrent la Fédération russe, par exemple.
    Mais il est également revenu sur le Projet Tyler, dont on a commencé à entendre parler en décembre 2011 et qui devrait être finalisé le 5 novembre 2012 pour un lancement le 21 décembre prochain à 11h11.

    Un point sur un projet colossal

    Présenté dans différentes vidéos (dont une à voir ci-dessous), le projet Tyler « sera massivement distribué et décentralisé à la manière de Wikipedia ou du peer-to-peerstructurant le cyberespace d’une protection contre la censure », apprenait-on à l’époque.

     

     

    Développée par des hackers et des codeurs proches des Anonymous, cette structure visait donc à permettre la diffusion d’informations grâce aux « leçons tirées de Freenet, TOR, Gnu net, e-Mule, Bit Torrent I2P, Tribler et des projets connexes ».

    Ne plus avoir à compter sur Wikileaks

    Dans l’interview à The Voice of Russia, le « représentant » des Anonymous revient sur la scission consommée récemment entre son mouvement et Wikileaks, lors de la mise en place d’un paywall à l’accès sur le site initié par Julian Assange. Pour l’Anonymous, le comportement de Julian Assange sur Twitter n’a fait qu’envenimer les choses, traduisant un certain mépris et une forme d’arrogance.
     

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    Une décennie de cyclisme à revoir! Sortie des palmarès depuis 1998 pour dopage, Lance Armstrong laisse un vide difficile à combler pour le Tour de France et dans d'autres courses. 

    Du héros à l'escroc. Jamais sportif n'a chuté d'aussi haut que Lance Armstrong. Au sommet de sa gloire, le Texan a détenu le record du nombre de Tours de France gagnés, avec sept titres, en plus de sa victoire contre un cancer qui a failli le tuer (métastases au cerveau). Ce double succès, capitalisé au travers d'une fondation de lutte contre le cancer qui va recueillir d'énormes sommes d'argent, Livestrong, a fait de lui une légende vivante aux Etats-Unis, un symbole d'espoir face à la maladie. Sa popularité est alors immense. 

    Depuis sa suspension à vie par l'Agence américaine antidopage(AMA) et la perte de la majorité de ses titres, Lance Armstrong n'est plus qu'un fieffé menteur, muré dans son déni du dopage. Seules les accusations de mieux en mieux étayées sur son dopage l'honorent encore de la Une des journaux. Lâché par Nike et d'autres sponsors, il a renoncé à la présidence de Livestrong, pour en préserver l'existence. Il pourrait devoir rembourser ses gains sportifs ou contractuels. Il pourrait aussi répondre de parjure, un crime aux Etats-Unis, dans l'affaire qui l'a opposé à SCA Promotions. 

    Qui a gagné le Tour de France? A l'instar d'Andy Schleck lors de la suspension d'Albert Contador pour le Tour 2010, la logique voudrait que les titres d'Armstrong reviennent à ceux qui ont été ses dauphins. Soit Zülle (1999), Ulrich (2000, 2001 et 2003), Beloki (2002), Klöden (2004) et Basso (2005). Sauf que tous ces coureurs et la plupart des dix premiers de ces années-là ont été mis en cause dans des affaires de dopage comme "Puerto", voire ont déjà été suspendus. ASO, organisateur du Tour de France, a demandé à ce que les titres d'Armstrong ne soient pas réattribués. Sept années d'épreuves sans vainqueurs: un trou sans équivalent dans l'histoire des palmarès sportifs. 

    Ce qu'il reste à Lance Armstrong. L'Américain n'a pas tout perdu puisque sa radiation ne prend effet qu'à partir du 1er août 1998, c'est-à-dire après avoir vaincu son cancer. Il ne lui reste que les titres obtenus lorsqu'il évoluait comme sprinteur - si ce n'est le Tour du Luxembourg en 1998. Pour les courses à étapes: le Tour DuPont en 1995 et 1996 et les étapes de Verdun (1993) et Limoges (1995) sur le Tour de France. Pour les courses d'un jour: championnat des Etats-Unis sur route (1993), championnat du monde sur route (1993), Clasica San Sebastian (1995), Flèche Wallonne (1996), GP Marostica (1992) et Trophée Laigueglia (1993). 

    Les records retournent à leurs propriétaires précédents. Lorsqu'il s'était imposé pour la 6e fois d'affilée dans le Tour de France en 2004, Lance Armstrong faisait alors mieux que Miguel Indurain, qui a dominé l'épreuve de 1991 à 1995. Avec la déchéance de l'Américain, l'Espagnol redevient le co-détenteur du record de Grandes boucles remportées avec le Belge Eddy Merckx(1969, 1970, 1971, 1972, 1974) et les Français Jacques Anquetil(1957, 1961, 1962, 1963, 1964) et Bernard Hinault (1978, 1979, 1981, 1982, 1985). Contrairement à ces derniers, Armstrong axait sa saison uniquement sur le Tour de France. De 1999 à 2005, il ne comptait que très peu d'autres succès: Tour de Suisse en 2001, Grand Prix du Midi Libre en 2002 et Dauphiné Libéré en 2002 et 2003. Tous effacés. 

    Source : http://www.lexpress.fr


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    Les fans d'Apple sont dans les starting blocks ce 23 octobre. Le groupe de Tim Cook devrait dévoiler ce soir son iPad mini, une version en taille réduite de sa tablette vedette. Un marché déjà trusté par Samsung, Google ou encore Amazon. Pour une fois, Apple a peut-être un coup de retard.

    Tim Cook fait preuve de pragmatisme

    Et si Steve Jobs, une fois, s'était trompé? Blasphème, s'écrieront les fans d'Apple, et pourtant... En 2010, il se moquait ouvertement des tablettes 7 pouces, les petits concurrents de l'iPad. Des produits "mort-nés", qui devraient, dit-il, être vendu avec du papier de verre, pour que les utilisateurs puissent poncer leurs doigts, trop gros pour ces mini écrans.
    Oui mais voilà, deux ans plus tard, Apple est rattrapé par la réalité. Les petites tablettes sont bien vivantes. Samsung, avec sa Galaxy Tab, Google, et sa Nexus 7, Amazon et son Kindle Fire, ont créé un marché dans le marché, avec des tarifs moitié moins chers que ceux de l'iPad.
     
    Pas question pour Apple de ne pas riposter. Avec cet iPad mini, Tim Cook fait preuve de pragmatisme. Comme le souligne un fin connaisseur de la marque, "pour la première fois, Apple va lancer un produit défensif". Quitte à semer le doute sur sa stratégie : le groupe nous a habitué à être une locomotive, cette fois il est obligé de courir derrière le train.
     

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