•  

    Battu 2-0 à l'aller sur la pelouse du Mozambique, le Maroc a inversé la tendance samedi soir sur sa pelouse de Marrakech en s'imposant 4-0 devant son public. Les Marocains disputeront la CAN 2013.

     

    maroc

    Le Maroc a décroché sion ticket pour la CAN 2013, en venant à bout du Mozambique (4-0), samedi soir à Marrakech. Pour cette première sortie officielle de l'ère Rachid Taoussi, les Marocains s'assuraient d'entrée une domination sans partage, mais peinaient longtemps à régler la mire. Les centres étaient pour la plupart imprécis, et les coups de pied arrêtés tous très mal tirés. Il fallait attendre un décalage d'El Arabi pour voir la première véritable occasion, mais l'attaquant de Grenade envolait sa frappe (25eme). Accrocheur, l'ancien joueur de Caen était une première fois récompensé de ses nombreux efforts, quand son centre trouvait Barrada aux six mètres. Comme à la parade, le sociétaire de Getafe décroisait sa tête (39eme, 1-0). La première partie du chemin vers l'Afrique du Sud était faite, les Lions de l'Atlas regagnaient les vestiaires sous les clameurs du public. 

    Après la pause, Assaïdi était lancé dans la bataille à la place d'Aqqal, très décevant. L'entrée de l'ailier gauche faisait beaucoup de bien aux Marocains, dont les attaques gagnaient en précision. Une approximation de Lamyaghri plus loin (52eme), et les Lions de l'Atlas, poussés par le public de Marrakech, reprenaient leur domination. El Arabi ratait encore le cadre sur un bon centre de Barrada (55eme). Le Mozambique allait finir par craquer. Miro assénait un coup de coude à Barrada. Déjà averti, le capitaine prenait son deuxième carton et laissait son équipe à dix. Kharja exécutait la sentence (64eme, 2-0). Après de longues minutes d'interruption suite à la sortie du portier mozambicain, le Maroc repartait à l'assaut. A quelques minutes du terme, El Arabi marquait le but de la qualification d'une tête piquée sur un superbe centre de Bergdich (85eme, 3-0). Le dernier but parachevait le triomphe. Il était l'oeuvre d'Amrabat (90eme +4, 4-0), inexplicablement oublié à l'aller par Eric Gerets. Tout un symbole. 

    Le onze marocain : Lamyaghri - Belakhdar, El Adoua, Benatia, Bergdich - El Ahmadi, Kharja - Barrada, Belhanda (Amrabat, 71eme), Aqqal (Assaïdi, 46eme) - El Arabi.

    Source : http://www.sport365.fr


    votre commentaire
  • Acteurs ou sportifs, les "peoples" sont victimes de leur succès sur le Net. Leur nom et leur image sont utilisés par les cybercriminels pour mener sur des sites malveillants et propager des virus.

    Cette année, c'est Emma Watson qui a été élue la star la plus dangereuse du Net. Non pas qu'elle soit une hacker expérimentée, mais son nom et son image sur la Toile mènent vers des sites malveillants. Chaque année, McAfee, l'éditeur de logiciels antivirus publie le palmarès des personnalités « à risque ». Dans la dernière édition, l'actrice principale d'Harry Potter a détronée Heidi Klum, première en 2011. Elle est suivie de près par Jessica Biel, Eva Mendes, Selena Gomez et Halle Berry.
     
    Ce palmarès international compte, cette année, uniquement des actrices américaines, de surcroît plutôt jolies. Les hommes, notamment des comiques et des sportifs, y sont aussi en bonne position : Novak Djokovic, Roger Federer, Jamel Debbouze, Dany Boon ou encore Gad Elmaleh sont des noms dont il faut se méfier sur le Net.... A fortiori quand ils sont associés à des termes tels que nudité ou sexe pour mener à des sites malveillants. Le cybercriminel se contente de créer un nom de domaine, d'y copier-coller le contenu d'un site en apparence normal et d'y insèrer quelques lignes de codes qui contiennent un virus. Une fois, la page ouverte par l'internaute, le virus s'implante dans son ordinateur.
     
    A l'heure actuelle, les virus ont pour premier objectif de récupérer des coordonnées bancaires. L'utilisateur peut aussi recevoir un message provenant a priori d'une administration officielle, lui demandant une somme d'argent pour débloquer son ordinateur. On appelle cela unransomware. Bien évidemment, c'est une supercherie et il est peu probable que la machine soit débloquée même si la rançon est payée.
    Pour éviter les ennuis, installez un bon antivirus sur votre ordinateur, faites-en régulièrement les mises à jour... et évitez de traquer les stars dans le plus simple appareil !
     

    votre commentaire
  • Avec la version iOS 6, Apple apporte aux publicitaires un outil d’analyse comportementale des utilisateurs. Il est activé par défaut, mais on peut le désactiver.

     

    iOS-6
    Parmi les nouvelles fonctionnalités d’iOS 6, il y en une dont Apple n’a pas trop parlé : le « suivi publicitaire ». Késako ? C’est un moyen pour les annonceurs de vous afficher des publicités taillées sur mesure. En effet, avec la sortie d’iOS 6, Apple permet aux fils de pub de tracer à la culotte les utilisateurs d’iPhone et d’iPad au travers d’un code unique baptisé IDFA (Identifier for advertisers).
    Ce code n’est pas lié à l’appareil, comme l'était l'UDID, mais généré de manière aléatoire à chaque installation d’iOS. Quand vous surfez sur le web ou utilisez une application, ce code est transmis aux serveurs de publicité qui l’analyse et génère, en fonction de l’historique accumulée, la pub la plus adaptée. Cet utilisateur regarde-t-il souvent des sites de voitures ? Hop, une pub pour un constructeur ! Utilise-t-il en ce moment des applications pour recherche d’appartement ? Et toc, une pub pour une agence immobilière !
    Avant l’arrivée de l’IDFA, les développeurs ont utilisé l’identifiant de l’appareil UDID pour tracer le comportement. Mais Apple a récemment interdit l’accès aux codes UDID, pour des raisons desécurité. Toutefois, pour ne pas déplaire aux annonceurs et ne pas mettre à mal iAd, il a introduit l’IDFA.

    Caché au fond du menu

    Un tantinet intrusif, me direz-vous ? Sachez que le suivi publicitaire est toujours activé par défaut, mais que l’on peut le désactiver. La procédure n'a rien de sorcier. En voici un déroulé, en seulement quatre étapes.
     

    votre commentaire
  • Pour penser à vos amis en allant plus loin que le simple"J'aime" sur leur page Facebook, cette veste vous propose de leur transmettre un véritable câlin. En effet, la veste se gonfle dès que la personne reçoit un "J'aime" sur son compte.


    Melissa Chow, une étudiante du Massachusetts Institute of Technology, a créé une veste qui interagi avec votre compte Facebook. A chaque fois que vous recevez un "J'aime" sur votre page, la veste se gonfle comme pour vous enlacer.

    Ce vêtement est donc multifonctions, mais surtout à la pointe de la technologie. En effet, grâce à cette veste, il est à présent possible de ressentir réellement les "J'aime"du réseau social. Cette option vous permet de vous sentir moins seul donc puisque la veste vous offre l'occasion de vous faire câliner par vos amis à chaque "J'aime". D'ailleurs, si l'expéditeur du câlin est lui aussi équipé de cette veste, il est possible de lui retourner l'attention en enlaçant la veste. 

    D'après sa créatrice, cette veste a avant tout pour but de casser les distances entre les gens: "Les câlins peuvent maintenant être adressés via Facebook, ce qui nous rapproche en dépit des distances", explique-t-elle sur son site. Le prototype de ce vêtement révolutionnaire a été dévoilé le 5 octobre,rappelle le site Francetvinfo.

    Source : http://www.gentside.com


    votre commentaire
  • Si tous les humains sautaient en même temps sur Terre, que se passerait-il?  C'est la question à laquelle Michael Stevens, scientifique américain qui gère la chaîne YouTube VSauce, apporte une réponse bien surprenante.

     

    Depuis que le cap des sept milliards d’êtres humains a été franchi sur Terre, certains se posent cette question quelque peu bizarre de savoir ce qui se passerait si tous ensemble, réunis dans un même lieu, nous sautions en même temps. Ce lieu pourrait par exemple être Los Angeles, qui suffirait à rassembler tout la population mondiale placée épaule contre épaule. Bref, que se passerait-il si nous sautions conjointement? Un tremblement de terre ? Un Tsunami ? Un nouveau phénomène inexpliqué ? La réponse peut surprendre mais en fait, il ne se passerait pas grand-chose.

    La thèse de l'homme fourmi

    En fait, "notre masse collective comparée à celle de la Terre est totalement insignifiante", explique le journaliste scientifique, Michael Stevens, dans sa vidéo, visionnée plus de sept millions de fois déjà sur YouTube en moins de deux mois. C’est un petit peu comme si des fourmis décidaient de faire trembler votre maison. En fait, la seule chose que nous parviendrions à faire, c’est de repousser la terre d’un centième d’atome d’hydrogène. "Mais ce minuscule déplacement ne suffirait certainement pas à modifier la position de notre planète dans l’univers, puisque celle-ci continue à tourner", précise Michael Stevens.

    Un test grandeur nature réalisé en Grande-Bretagne 

    Mais quand même, sept milliards de personnes qui sautent exactement au même moment, cela doit bien avoir un impact sismique, non ? Pour répondre à cette question, la chaîne anglaise BBC a tenté l’expérience. Elle a réunit 50.000 personnes sur un rayon d’un kilomètre et demi. Un tremblement de terre de 0.6 sur l’échelle de Richter a bel et bien été enregistré. Mais autant dire que cela reste totalement insignifiant. En fait, pour reproduire le même tremblement de terre qui a touché le Japon en 2011, il faudrait que la population mondiale actuelle soit multipliée par... sept illions ! "Donc même si nous sommes tous des gens géniaux, à côté de la puissance terrestre, nous ne sommes rien", conclut Michael Steven. 

    Des résultats surprenant qui nous font quelque peu retomber les pieds sur terre…

    Source : http://www.gentside.com


    votre commentaire