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    drogue-trafic

    La Gendarmerie Royale d'Izemmouren a arrêté, récemment, deux frères impliqués dans un trafic de drogue, à hauteur de la localité Rouadi, dans le cadre de la lutte contre le trafic de stupéfiants.
    La perquisition effectuée au domicile paternel des mis en cause a permis la découverte et la saisie d'une quantité de kif moulu et de tabac en feuilles, ainsi que des armes blanches.
    Les mis en cause ont été présentés à la justice.

    Source : http://www.aujourdhui.ma


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    La-statue-d-Alex-Ferguson

    Après avoir été anobli, Sir Alex Ferguson est désormais statufié ! Vendredi, un bronze de l'entraîneur de Manchester United a été dévoilée devant le stade d'Old Trafford, l'enceinte mythique des Red Devils. Celui qui fêtera prochainement ses 71 ans, a gagné 12 Championnats d'Angleterre et deux Ligues des champions avec les Diables rouges. Plusieurs anciennes vedettes du club, dont le Français Eric Cantona et le Néerlandais Ruud Van Nistelrooy, ont assisté à la cérémonie, organisée à l'occasion du 26e anniversaire de l'arrivée de l'Ecossais à la tête de United. Les joueurs actuels du club mancunien, comme Robin Van Persie, Wayne Rooney ou encore Rio Ferdinand étaient également présents.

    Source : http://www.europe1.fr


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    les-endroits-sales-d-un-restaurant

    Des journalistes américains ont enquêté dans plusieurs établissements pour savoir quels étaient les endroits les plus sales dans un restaurant. La première place du classement est une petite surprise.

    Une récente enquête dévoilée lors de l'émission 20/20 sur la chaîne ABC News, aux États-Unis, nous dévoile les 10 endroits les plus sales dans un restaurant. Car si les contrôles d'hygiène constituent un bon élément de réponse, cela ne suffit pas à s'assurer à 100% que le restaurant où vous mangez est totalement propre. La journaliste Elisabeth Leamy a donc mené l'enquête en inspectant l'intérieur de dix restaurants. Ayant pour seul outil, un coton-tige, elle a récolté des échantillons sur plusieurs surfaces. Ces échantillons ont ensuite été envoyé au microbiologiste de l'Université de New York, le docteur Philip Tierno, qui les a analysé. Il a ensuite comparé le nombre de germes présents.
    Les résultats de cette investigation sont plutôt surprenants puisqu'il semblerait que l'endroit le plus sale d'un restaurant soit... les chaises. Comme le note Elisabeth Leamy, cela peut s'expliquer notamment par le fait que les restaurants ne pensent pas forcément à désinfecter les sièges comme ils le font pour la cuvette des toilettes par exemple. 
    Voici le top 10 :

    - les chaises : 70% des chaises analysées étaient contaminées de bactéries comme l'E.coli.

    - la carte des menus : gare aux staphylocoques retrouvés par la journaliste.

    - les quarts de citron : sur la moitié des citrons analysés, des matières fécales ont été retrouvées.

    - les salières et les poivrières : Il faut dire qu'elles passent de main en main.

    - les tables: passer une éponge sale ne suffirait pas.

    - les verres : beaucoup de bactéries ont été décelées, dont une liée à la tuberculose.

    - les poignées de la porte des toilettes : on vous laisse deviner pourquoi.

    - les robinets des toilettes: c'est bien pour cela que des établissements s'équipent aujourd'hui avec des robinets automatiques.

    - les bouteilles de ketchup.

    - les pinces dans les buffets.

    L'étude porte sur des restaurants américains mais nul doute que l'analyse effectuée pourrait être transposée en France sans que les résultats ne soient révolutionnés. Des résultats qui font froid dans le dos et pourtant les restaurants sont dans l'ensemble des lieux que l'on considère plutôt propres. Les experts s'accordent à dire que les endroits les plus infestés de germes sont les stations-service et en particulier les pompes à essence.

    Source : http://www.gentside.com


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    Décembre approche et les premiers bilans commencent à poindre. En terme de sécurité informatique, « l’année 2012 n’est pas en rupture, elle s’inscrit même dans une certaine continuité », nous indique, lors d'un entretien, Thierry Karsenti, directeur technique Europe pour la société Check Point, spécialisée dans la sécurité informatique, aussi bien pour les grands comptes que pour les particuliers.

    2012, année de l’industrialisation de la cybercriminalité

    Une continuité par rapport à 2011 et c’est « plutôt inquiétant », ajoute-t-il. 2012 est l’année de la « confirmation d’une tendance de fond, une certaine accélération de la menace de la vie quotidienne ». Une tendance double que 2012 a vu « s’industrialiser », nous confie Thierry Karsenti.

    La première tendance voit se multiplier les ransonwares, ces logiciels qui s’installent en prétendant vouloir vous aider à sécuriser votre machine, puis vous forcent à payer pour prétendument évincer un virus qui n’est en fait lié qu’à leur présence. Une forme « d’extorsion financière », qui se généralise, commente-t-il.

    La deuxième tient au vol de bande passante. L’ordinateur est alors utilisé comme une« puissance informatique ». Un logiciel s’installe à l’insu de son propriétaire et ne va quasiment pas altérer son bon fonctionnement. En revanche, de manière ponctuelle, il va « dérober une partie de la bande passante ». Tout étant commandé grâce à un botnet, par un serveur, qui gère les machines contaminées et créent ainsi un réseau de traitement de spams, qui sera loué à des spammeurs.

    Le cloud pointé du doigt

    Et au vu de l’explosion du marché des mobiles, cette dernière tendance ne risque-t-elle pas de prendre une nouvelle ampleur avec des smartphones de plus en plus puissants ? Sans doute, oui, mais dans le futur proche, pour Thierry Karsenti, le vrai danger, lié à l’arrivée dessmartphones, est à chercher du côté du cloud.

    « Jusqu’à aujourd’hui, vous êtes le maître de votre sécurité. C’est vous qui décidez si vous investissez du temps, de l’argent ou de l’expertise pour vos données informatiques. Si vous récupérez un virus, c’est que l’ordinateur n’est pas à jour, que vous n’êtes pas allé au bon endroit. Mais vous ne vous en prenez qu’à vous-même. »

    Avec les smartphones est venu l’avènement d’une nouvelle ère, le post-PC, où l’ordinateur n’est plus le centre de votre activité numérique. Désormais, non seulement les données sont dématérialisées car numériques, mais leurs supports physiques quittent votre proximité.« Jusqu’à présent la donnée était proche de vous. Elle était numérique mais se trouvait sur un disque dur, physiquement vous la situiez », commente Thierry Karsenti. « Avec le cloud, avec les solutions d’Apple, d’Amazon, de Microsoft ou encore de Google, la donnée est dans le nuage, elle est quelque part, mais il n’y a rien de plus flou qu’un nuage. »

    Changement de paradigme

    Et ce flou pose de lourdes questions en terme de sécurité, au sens large. « La sécurité de cette donnée vous échappe », explique le directeur technique Europe de Check Point. « Vous n’êtes plus maître du bon cycle de vie de vos données. » Et sans exagération, d’aller un pas plus loin : « Vous n’êtes d’ailleurs pas forcément maître de la donnée. Parfois, quand vous allez sur certains de ces sites, que vous mettez des photos ou des informations, vous vous rendez compte que vous n’êtes légalement plus la personne qui a des droits sur cette donnée. »

    C’est ce qu’a si bien démontré l’affaire Megaupload et ses répercussions pour des milliers d’utilisateurs, dont Kyle Goodwin, relance-t-on. « Megaupload est l’exemple parfait. Beaucoup de PME stockaient pour des raisons financières des gigaoctets de données avec ce service. A un moment, une décision politique d’un Etat, en l’occurrence américain, ferme ce site et vous n’y accédez plus. Les données existent encore mais vous n’avez plus votre mot à dire. On vous a dépossédé de la donnée. »

    Sécurité à double sens

    Dès lors la définition du terme sécurité est double. Le cloud implique de « futurs enjeux sur la sécurité au sens informatique de cette donnée ». Il faut ainsi s’assurer que « les serveurs dans le cloud soient sécurisés, chiffrés, et qu’en cas de fuite de données, les utilisateurs soient avertis ». Voilà pour le premier point, qui « paraît la moindre des choses », commente Thierry Karsenti. Et d’ajouter : « mais ce n’est pas le cas aujourd’hui dans beaucoup de pays ».

    La deuxième définition du terme sécurité tient plus à une approche du point de vue de l’utilisateur final, du respect de sa vie privée. « Ce sont toutes les questions juridiques autour du cloud. A qui appartient véritablement une donnée ? » Et la question devient vertigineuse, quand ce spécialiste de la sécurité élargit d’un coup le spectre du « cloud ». Car, les acteurs Over The Top, les Google avec Gmail, les Facebook avec les milliers de données personnelles qu’ils détiennent sur nous, toutes ces sociétés font partie intégrante de la question du cloudet de la sécurité qui l’accompagne.

    Et Thierry Karsenti de s’interroger : « Qui est le produit ? Facebook, c’est votre produit ? Ou vous êtes le produit de Facebook, qui vous vend à des annonceurs ? »

    Défense de l’utilisateur et de ses données

    Et, de fait : « Il y a une vraie problématique autour de la donnée. Un seul état en Europe établit un contrat d’utilisation entre l’utilisateur et Facebook et impose de proposer un interlocuteur juridique, c’est l’Allemagne, qui, après le nazisme, est très sensible à tout ce qui touche aux données personnelles et à leur sécurité. » Une exception qui fait que si « vous êtes Français, [et que] vous avez un problème avec Facebook, il faut aller en Californie pour porter plainte ».

    Dès lors, on comprend mieux la position énoncée. Et d’avancer une hypothèse ? La relative nouveauté de ces enjeux, comparée aux dangers informatiques classiques qu’on a l’habitude de rencontrer avec Windows, ne complique-t-elle pas la tâche ? « Absolument, et, en plus, ils sont plus complexes d’approche. On fait rarement exprès d’avoir un virus. Alors que sur Facebook, on reçoit un message avec une application qui a l’air super sympa. Est-ce que j’autorise cette appli ou pas ? A quoi accède cette application ? A tous vos contacts et à tous vos posts. » Et d’enfoncer le clou(d). « Je peux demain développer une application, très sympa, mais qui en plus d’être un jeu agréable, récupérera tous vos amis, contacts et messages. Et tout cela a une vraie valeur. »

    Deux ne font qu’un

    Et de boucler la boucle. Un danger sécuritaire pour vos données qui prend aussi la forme d’une menace pour la sécurité informatique. « En ce qui concerne l’attaque de l’Elysée, la première approche a été d’aborder un collaborateur du palais présidentiel par Facebook. » Ce qui montre bien que les deux aspects de la sécurité informatique partagent un point commun, l’utilisateur, et un besoin essentiel, la pédagogie.

    « Il y a un besoin d’éducation sur les prérequis (matériel, logiciel, etc.) et sur les usages. Quel bon comportement faut-il adopter ? Il faut sensibiliser les utilisateurs, et on le voit bien c’est très difficile. » Une fois encore le problème se situerait-il entre le clavier et le siège ? « Oui, c’est tout à fait cela et il y aura toujours quelqu’un », plaisante Thierry Karsenti, qui sait bien que le combat n’est pas près de prendre fin.

    Source : http://www.01net.com


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    Messi

    Auteur d’un doublé face au Spartak (0-3), Lionel Messi est désormais le 2e meilleur buteur de l’histoire de la C1 (56 buts). Raul (71) est le prochain sur sa liste.

    Lionel Messi affole encore et toujours les compteurs. Et claque but sur but. Samedi dernier, il s'était offert un doublé face au Real Saragosse (3-1). Mardi soir, Messi a remis ça sur la pelouse du Spartak Moscou (0-3). Son premier but est un peu heureux, une frappe du droit peu académique (0-2, 27e). Le second en revanche ne doit rien à personne (0-3, 39e). Ces deux nouvelles réalisations européennes permettent au numéro 10 du Barça d'entrer encore plus dans l'histoire. L'Argentin en est maintenant à 56 buts inscrits en Ligue des champions et devient le deuxième meilleur buteur de l'histoire de la compétition, à égalité avec Ruud van Nistelrooy, qui n’avait marqué que 12 buts en C1 au même âge que l’Argentin. Aujourd’hui, seul Raul (Real Madrid), 71 unités, devance l’Argentin. Au rythme où vont les choses, Messi pourrait le battre lors de la prochaine édition de la compétition.

    Mardi, le natif de Rosario a toutefois déjà battu un record que détenait l'ancienne star du Real Madrid : celui du nombre de matches terminés avec au moins deux buts marqués en Ligue des champions. Le triple Ballon d’Or a réussi cette performance à quinze reprises, tandis que Raul s’était arrêté à 14. Ajoutez à cela, cerise sur le gâteau, que Lionel Messi a joué 73 matches de Ligue des champions et a été directement impliqué sur 73 buts (56 buts et 17 passes décisives).

    80 buts sur l'année civile

    Quand on prend un peu de recul et que l’on ne borne pas seulement les statistiques du Blaugrana à la seule Ligue des champions, Messi plane un tout petit peu moins. Le Barcelonais n'est "que" 8e du classement des meilleurs buteurs de l'histoire des compétitions européennes en club. Mais mardi, Messi, 57 réalisations, vient de dépasser Eusebio (9e avec 56 buts). Dans ce classement, il est maintenant à deux unités de l'ancienne gloire du Real Madrid Alfredo Di Stefano et à trois de Filippo Inzaghi. Et il n’a que 25 ans. D’ici peu, Lionel Messi, 80 réalisations en cette année 2012, pourrait rattraper puis dépasser Gerd Muller, 85 réalisations en 1972. Et faire un pas supplémentaire vers un quatrième Ballon d’Or.

    Source : http://fr.sports.yahoo.com


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