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    viande

    En Inde, un manuel scolaire répand cette drôle d'idée que consommer de la viande serait néfaste puisque cela inciterait à voler, à mentir et même à commettre des crimes à caractères sexuels.

    Et si manger de la viande agissait sur la morale des gens ? C'est en tout cas l'idée que tente de répandre un manuel scolaire indien. Relayé par nos confrères de LCI, ce livre destiné à des enfants de 11 ans explique qu'une alimentation carnée vous ferait mentir, voler, voire commettre des crimes sexuels.

    Les mangeurs de viande ont tous les tords 

    Selon la chaîne d'informations indienne, NDTV, ce fameux manuel scolaire donne des conseils éducatifs sur des sujets de santé, d'hygiène et même d'éducation sexuelle. Sur une page destinée aux carnivores, le livre prétend que ceux-ci "trichent facilement, profèrent des mensonges, oublient leurs promesse, sont malhonnêtes et disent des gros mots, volent, se battent, commettent des violences et des crimes sexuels". Le livre va plus loin en adoubant la cuisine japonaise, au détail près qu'il oublie de mentionner le penchant nippon pour les fruits de mer et les sushis. 
    Toujours selon la chaîne d'informations de New Delhi, NDTV, le responsable de la Commission centrale pour l'enseignement secondaire a expliqué que les manuels scolaires étaient choisis indépendamment par chaque école et que leur contenu n'était soumis à aucun contrôle.

    Un régime pauvre en viande

    On le sait, l'Inde voue un culte très particulier au bœuf, qui est considéré comme un animal sacré. D'ailleurs, et malgré un changement constaté dans le régime alimentaire du pays, l'Inde reste un pauvre consommateur de viande puisqu'en moyenne, un Indien mange entre 5 et 5,5 kg de viande par an selon la FAO, l'agence de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture. Ce chiffre est un record national et est une conséquence directe d'une meilleure politique de contrôle des aliments ainsi qu'un attrait grandissant pour les régimes riches en protéines dans les pays en développement. Sur le reste du continent asiatique, la consommation moyenne de viande est de 27 kilos par an, tandis que selon les chiffres de la FAO, le reste du monde ingurgite en moyenne 38 kilos de viande par an.

    Source : http://www.gentside.com


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    Pandora

    Les outils capables de mettre en panne les sites web évoluent. Ils servent principalement au racket des boutiques en ligne.

    Il n’a jamais été aussi simple d’attaquer des sites web.Low Orbit Ion Cannon (dit Loic), SlowHTTP, RailGun etautres sont tous des outils librement téléchargeables pour – officiellement – tester la robustesse d’un site d’e-commerce face à une attaque de type déni de service. Mais ils servent tous bel et bien à mettre les boutiques en ligne hors service. « Ces logiciels n’ont qu’une cellule et un bouton. Dans la première, on entre l’URL cible. Et on appuie sur le second pour lancer l’attaque », résume Sylvain Gil, le directeur d’Imperva, une entreprise qui développe des dispositifs de sécurité.

    Le déni de service 2.0 attaque la couche applicative

    L’URL ciblée n’est pas n’importe laquelle : il s’agit du lien qui génèrera le plus de trafic.« Sur un site culinaire, par exemple, on recherchera toutes les recettes à base d’un ingrédient très commun, comme « œuf » ou « sel ». Cette recherche va engendrer une URL spéciale – comprenant une adresse, suivie de « php? », puis d’arguments – qui va activer le moteur applicatif du site pour créer dynamiquement la page des résultats. Ce que font les logiciels d’attaque, c’est répéter sans cesse cette URL afin de faire tourner à plein régime le moteur applicatif. Jusqu’à ce qu’il ne réponde plus », explique Sylvain Gil.

    Selon lui, cette technique est une variante récente de l’attaque par déni de service. Auparavant, les pirates inondaient la cible avec des requêtes erronées pour faire tomber sa connexion réseau. Mais les appareils de routage qui orientent le trafic des internautes vers les serveurs web ont appris à rejeter ce type de messages.

    Des services en Saas pour une cyberattaque anonyme et massive

    Problème pour le pirate, de tels outils laisseront la trace de son adresse IP, ce qui permettra aux autorités de remonter jusqu’à lui. Mais il existe une parade : l’outil de déni de service... en Saas ! Des services (dont l’adresse sur le web change régulièrement) proposent de déclencher une attaque de ce type à partir de centaines de PC zombies infectés par un virus. C’est-à-dire sans même que les utilisateurs de ces machines ne le sachent.

    Il y a même des tarifs : selon la taille de la cible, il faut compter de 5 à 100 dollars par heure d’attaque.

    A défaut de trouver le service Saas adéquat, des groupes de cybermalfaiteurs vendent surleurs forums de discussion un outil à télécharger, qui commande des attaques aux PC zombies sans laisser traîner l’adresse IP du pirate sur la cible. Il s’agit du logiciel Dirt Jumper, alias Pandora DDos, commercialisé entre 200 et 800 dollars.

    Le racket, réel objectif

    Pourquoi mettre un site web hors service ? Le gang des hackers Anonymous revendique en user à des fins de contre-pouvoir, en ce moment contre Israël en conflit avec la bande de Gaza, hier contre le licenciement de 4 000 travailleurs chez ArcelorMittal.

    Mais pour Sylvain Gil, le déni de service est surtout employé contre les sites d’e-commerce à des fins de racket. « Les pirates font chanter les entreprises. Si elles ne leur versent pas une certaine somme, ils font tomber leur site. Dans la plupart des cas, payer coûte moins cher à une boutique en ligne que perdre son activité commerciale », explique-t-il.

    D’autant qu’on a dû mal à attraper ce type de malfaiteurs. Les rançons seraient versées de deux manières. « Il s’agit soit de mandats Western Union ou Liberty Reserve vers des pays africains, où des mules viennent prélever l’argent dans des bureaux de poste sans qu’on contrôle trop leur identité. Soit de virements sur des comptes Paypal éphémères, qui retransfèrent l’argent vers d’autres comptes et disparaissent avant que les autorités n’aient eu le temps de regarder qui les avait créés », raconte Sylvain Gil.

    Une menace sous-estimée

    Pourtant, les entreprises ne consacrent que 5 % de leur budget sécurité à la protection de leur site web, alors qu’il sera la cible des hackers dans 83 % des cas. « On constate que les dépenses vont en grande majorité dans l’achat d’antivirus et de pare-feu. Or, les hackers vont plutôt chercher à corrompre les sites applicatifs, car c’est bien plus facile et plus rentable que d’aller voler des données sur les PC des salariés », affirme Sylvain Gil.

    Imperva dénonce d’autant plus ce phénomène que cette société vend des dispositifs, matériels ou logiciels, pour protéger les sites web.

    Source : http://pro.01net.com


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    Le club égyptien d'Al-Ahly s'est offert un septième sacre en Ligue des champions d'Afrique samedi soir en venant à bout de l'Espérance sportive de Tunis (EST) 2-1 lors de la finale retour dans la capitale tunisienne.

    A l'aller, les deux équipes avaient fait match nul (1-1) à Borg al-Arab (nord de l'Egypte), il y a deux semaines.

    Samedi, la première mi-temps a été à sens unique, les Egyptiens dominant une équipe tunisienne peu inspirée devant son public et malgré la présence de sa star, Youssef Msakni, longtemps incertain après avoir subi il y a quinze jours une opération de l'appendicite.

    Le gardien de l'EST, Ben Cherifa devait multiplier les parades (9, 25, 26) pour préserver ses cages. Il finissait par céder à la 43e minute sur un tir de Mohamed Nagy, dit +Geddo+, bien servi au point de penalty.

    Au retour des vestiaires, les Espérantistes relevaient leur niveau de jeu. Le Camerounais Ndjeng manquait d'égaliser (53), son tir du bout du pied rasant le poteau droit des Egyptiens.

    La réaction d'Al Ahly ne se faisait pas attendre. Soliman, recevant une belle passe des 40 mètres, lobait le dernier défenseur avant de tirer du gauche pour inscrire le but du break (62). Le buteur était cependant contraint de quitter le terrain quelques instants plus tard, blessé.

    Les Tunisois tentaient de réagir et c'est Ndjeng qui se montrait encore une fois le plus dangereux et le plus inspiré, trouvant le poteau deux minutes plus tard. C'est aussi lui qui parvenait à redonner l'espoir à l'EST en marquant d'un tir aux 6 mètres (84).

    Les Espérantistes ne réussissaient toutefois pas à arracher la prolongation et l'addition aurait pu être encore plus lourde si le gardien Ben Cherifa n'avait pas arrêté un penalty (90), puis un tir à bout portant (90+5).

    Le match qui se déroulait au stade de Radès, près de Tunis, était entouré de mesures de sécurité spécifiques, des violences ayant opposé à plusieurs reprises des supporteurs tunisiens ces derniers mois.

    Seuls 31.000 spectateurs (30.000 Tunisiens, 1.000 Egyptiens) âgés de plus de vingt ans ont été autorisés, sur présentation d'une pièce d'identité, à prendre place dans l'enceinte pouvant accueillir 60.000 personnes.

    Aucun incident n'avait été signalé une heure après la fin du match.

    Source : http://www.aufaitmaroc.com


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    nos-emotions-ont-une-odeur-d-apres-une-etude-dr_109319_w460

    Des chercheurs néerlandais ont confirmé les résultats d'une étude de 2010 qui démontraient que nos émotions étaient perceptibles par l'odorat.

    Des chercheurs de l'Université d'Utrecht, aux Pays-Bas, ont découvert que l’émotion humaine avait une certaine odeur. En effet, il semblerait que les émotions comme la peur ou le dégoût dégagent des signaux chimiques perceptibles à l’odeur. De plus, après leurs expériences, ces chercheurs ont également découvert que ces signaux chimiques influençaient les personnes qui ressentaient ensuite elles-mêmes l’émotion qu'elles flairaient.

    Des hommes soumis à un régime spécial

    Cette étude est parue dans la revue scientifique Psychological Science. Pour faire l’expérience, le groupe de chercheurs s’est d'abord attardé sur un groupe d’hommes qui ont préalablement été soumis à un régime spécial de deux jours, pour que leur hygiène de vie et leur alimentation n’influencent pas leur odeur corporelle et vienne ainsi ternir les résultats. Il leur a donc été interdit de fumer, de voire, de faire du sport ou de consommer des aliments trop odorants. Leurs produits hygiéniques (savon, déodorant) ont eux été remplacés par des produits sans odeur.

    Pour l’expérience, les scientifiques ont demandé aux hommes de regarder des films propices aux émotions de peur et de dégoût. Ils ont donc visionné un film d’horreur et à la fin du film, les chercheurs ont prélevé des échantillons de sueur sur chacun des participants. Ensuite, les scientifiques ont réuni un groupe de femmes et leur ont fait croire qu’elles allaient procéder à des tests de vision. Pendant cette fausse expérience, elles étaient, sans le savoir, exposées aux échantillons de sueur relatifs à la peur, des hommes.

    Des résultats impressionnants 

    Toute l’expérience était filmée et les caméras se concentraient principalement sur le faciès des dames. Les scientifiques ont alors pu se rendre compte que lorsque l’odeur masculine était diffusée, l’expression faciale et les mouvements oculaires des femmes étaient similaires à ceux exprimant la peur. Les mêmes résultats ont été obtenus lorsque les femmes ont été exposées aux échantillons  de dégoût, alors qu’elles n’avaient aucune idée des odeurs auxquelles elles étaient exposées.

    La revue Psychological Science rappelle néanmoins que cette découverte n’est pas vraiment une première puisqu’une autre étude avait déjà démontrée que les personnes en couples parvenaient à ressentir les émotions comme la peur ou le désir sexuel chez leur partenaire.

    Source : http://www.gentside.com


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    google-maps-rentree

    Selon une source du Wall Street Journal, Google vient de finaliser une version de test de Maps pour iPhone. Celle-ci aurait même déjà été distribuée à un cercle restreint de bêtas-testeurs. Si les tests sont concluants, l'entreprise américaine va soumettre son application à la firme à la pomme pour la mettre sur l’App Store. Mais aucun délai n’a été précisé pour l’instant. Il sera intéressant de suivre la réaction d’Apple, le jour où cette application entrera dans le processus de validation.

    Théoriquement, ce dernier ne devrait se concentrer que sur des points techniques mais, dans le cas de Google Maps, il y aura certainement un volet « politique ». Celle-ci a toujours figuré parmi les applications natives d’iOS. Elle était développée par Apple, en s’appuyant sur les données fournies par Google. Mais elle a été éjectée avec la version 6 du système d’exploitation mobile, pour être remplacée par l’application Plans, qui est signée 100 % Apple. Une conséquence, entre autres, de la concurrence de plus en plus acerbe entre les deux géants de la high-tech.

    Le choc Plans contre Maps

    Apple acceptera-t-il l’application de son grand rival sur son iPhone ? La question est épineuse, et l’avis des utilisateurs aura du poids. Car l’arrivée de Plans n’a pas été franchement convaincante. L’avantage de cette dernière, c’est d’intégrer une fonction de navigation, ce que n’avait pas Maps. En revanche, les cartes sont de moins bonne qualité et il n’y a pas de Street View. Par ailleurs, l’application était, au départ, truffée de bugs. Un certain nombre d’utilisateurs ont tout simplement refusé de mettre à jour leur système pour pouvoir garder Maps en natif sur leur iPhone.

    On comprend qu’Apple puisse avoir des hésitations. Google Maps pour iOS pourrait phagocyter son application Plans, surtout si le géant du Web ajoute une fonction de navigation. Par ailleurs, le fait que Google ait la main sur le développement de l’appli lui permettrait, selon leWall Street Journal, d’intégrer plus de publicités ou de le rattacher à d’autres services. Pour Apple, c’est donner du grain à moudre à son rival.

    La cartographie sur smartphones est en pleine effervescence. Outre Google et Apple, Nokia s’évertue à développer des applications mobiles. Le finlandais vient de présenter une nouvelle version de son logiciel de cartographie, pour le moins intéressante. Il compte proposer ce service sur tous les smartphones, y compris l’iPhone. La guerre des cartes a commencé.

    Source : http://www.01net.com


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