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    Ipad

    Après un démarrage en demi-teinte, les ventes d’iPad mini pourraient atteindre les 12 millions d’ici à la fin de l’année 2012. De quoi réjouir Apple. Mais la société ne s’endormirait pas sur ses lauriers. D’après le site japonais Macotakara, un iPad 5 pourrait sortir dès le mois de mars 2013 et la future version de l’iPad mini serait dotée d’un écran Retina.

    Les informations de ce blog viennent corroborer des rumeurs dont se sont fait écho le site Apple Insider et la presse chinoise. D’après le blog japonais, la cinquième mouture de la tablette d’Apple serait plus fine (de 2 mm), moins longue (de 4 mm) et moins large (de 17 mm) et reprendrait l’esthétique de l’iPad mini. Cette faible épaisseur permettrait de réduire le poids de l’appareil. En revanche, ces dimensions réduites pourraient avoir des conséquences sur l’autonomie de la batterie, à moins que le constructeur opte pour une autre technologie d’écran nécessitant un système de rétroéclairage moins.

    Quant à l’iPad mini 2, son écran Retina devrait délivrer une définition 2 048 x 1 535 pixels, soit exactement la même que celle des iPad 3 et 4, et être animé par un SoC A6X. Il proposerait alors les mêmes caractéristiques que l’iPad 5.

    Source : http://www.01net.com


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    Facebook

    Facebook lance son application mobile Poke disponible uniquement sur iPhone (téléchargeable iTunes d'Apple), entrant dans la catégorie des messageries instantanées "éphèmères". Ces messages texte, photo ou vidéo s'affichent au maximum 10 secondes sur le téléphone du correspondant, avant de s'effacer.

    Le paramétrage de la durée d'affichage peut être de 1, 3, 5 ou 10 secondes. Plusieurs correspondants peuvent être destinataires du même message "Poke". Le correspondant, qui doit avoir téléchargé l'application, reçoit une alerte à chaque nouveau message "éphémère" qu'il peut visionner durant le laps de temps (jusqu'à dix secondes) fixé par l'émetteur.

    L'un des intérêts du service est de ne pas laisser de trace, l'archivage des messages n'étant pas prévu par le réseau social. Mais, rien n'empêche le correspondant, réactif, d'effectuer une capture d'écran du message reçu, si l'affichage de courte durée lui en laisse le temps. Dans ce cas, l'émetteur sera prévenu, est-il précisé dans la description de l'application sur iTunes.

    Cette application s'inspire directement de Snapchat, une application mobile (pour iPhone et Android) qui présente aussi l'intérêt d'émettre des messages à durée de vie limitée, pour quelques secondes.

    Source : http://www.01net.com


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    Après Bing, c’est au tour de Yahoo! de publier ses tops 10 des mots-clés les plus recherchés. Comme sur le moteur de recherche de Microsoft, c’est une femme qui emporte la couronne des personnalités la plus recherchée sur Yahoo!, mais ce n’est pas la même. Ici, c’est la chanteuse Rihanna qui se place en première position. Elle devance la duchesse de Cambridge, autrement dit Kate Middleton, et le couple Vanessa Paradis-Johnny Depp.

    Du côté de la high-tech, Apple et Samsung dominent largement le top 10 des mots-clés les plus recherchés. Si la marque à la pomme a une légère avance sur son concurrent coréen en occupant les deux premières places du podium avec l’iPhone 5 et l’iPad 3, Samsung obtient le plus grand nombre de produits recherchés sur la Toile. Ainsi lessmartphones Samsung Galaxy S3, Samsung Galaxy S2 et Samsung Galaxy Note talonnent les produits Apple en occupant respectivement les troisième, quatrième et cinquième positions.

    Autre enseignement de ce classement, l’univers des jeux vidéo est toujours à l’honneur avec la présence de la Xbox 360 en sixième place et celle de la PS Vita en dixième position. Quant à la toute nouvelle Wii U, que nous avons testée, elle a déjà bien fait parler d’elle sur Internet et se place en neuvième place du classement des produits high-tech.

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    Une nouvelle console Nintendo à installer dans notre salon, ça ne nous était pas arrivé depuis 2006. A l’époque, il y avait dans l’air une certaine frénésie, une impatience à voir celle qui avait été appelée Revolution pendant son développement. Nous avons passé une grosse semaine en sa compagnie. Nos impressions.

    Work in progress

    Avant même de se pencher sur la console en elle-même indiquons que nous avons pu utiliser une version non mise à jour. Cette dernière a été mise à disposition, aujourd’hui, 30 novembre 2012, au moment de la sortie officielle de la Wii U. Nous avons donc eu entre les mains une console privée de son eShop, de son Mii Ware, de ses chaînes You Tube, de son service de vidéo, etc. Autrement dit, une console qui ne sert que de console et rien d’autres. En 2012, c’est beaucoup mais bien peu.

    Espérons d’ailleurs, pour en finir avec cette introduction, que la mise à jour déployée améliorera les temps de chargement de l’interface de la Wii U. Car passer des réglages à un jeu ou même la faire démarrer est plutôt lent. Un peu plus même qu’avec la Wii.

    Boîtier conséquent et finition

    Passons maintenant à un rapide tour du propriétaire. Extérieurement, la Wii U a des airs de Wii en un peu plus massive. Elle propose une sortie vidéo propriétaire, introduite avec la Wii, un port HDMI, pour profiter de la HD, et quatre ports USB, ce qui est une bonne chose pour pouvoir brancher des disques durs externes, puisque le stockage est limité à 32 Go dans sa version maximale. Difficile, sans avoir accès à l’eShop de savoir si les jeux téléchargeables et les DLC seront très consommateurs d’espace. Pour autant, il ne nous a pas semblé possible d’installer les jeux sur le disque local, comme on peut le faire sur une Xbox 360 ou une PS3.

    Le lecteur optique – au format mange-disque, comme sur la Wii – aura donc tendance à faire un peu de bruit, rejoint dans cette tâche par le gros ventilateur positionné à l’arrière de la bête. Par ailleurs, à en croire plusieurs sites Web, dont iFixit, l’intérieur de la Wii U contient beaucoup de vide. On ne peut pas dire que Nintendo ait cherché à optimiser son design industriel. L’adaptateur électrique en est une autre preuve. Sans atteindre la taille de celui de la première Xbox 360, il est énorme et représente presque un tiers du volume de la console.

    Dans le reste du carton d’emballage on trouve d’autres éléments plus ou moins accessoires. L’ensemble – berceau, manette, console et même les petites cales pour tenir la console verticale – donne une impression de finition honnête mais un peu au rabais malgré tout. Ainsi, chaque secousse du Wii U Gamepad est accompagnée d’un petit grelin grelot qui provient du léger jeu dans les touches et le pad directionnel.

    La star du jour

    Le Wii U Gamepad a lui aussi droit à son chargeur indépendant. On pourra soit le connecter directement à la manette pour continuer à jouer en la chargeant, soit le brancher à une station d’accueil, qui n’est pas sans rappeler celle de la 3DS première du nom. D’ailleurs la mablette de la Wii U a en commun avec les premiers modèles de 3DS d’offrir une autonomie assez réduite. Comptez environ 3h avant de voir clignoter l’indicateur de recharge. C’est court.

    Ergonomie du Wii U Gamepad

    Pour autant, mis à part un petit temps d’adaptation nécessaire au vu de la disposition des boutons à la verticale des sticks analogiques, la prise en main de la manette est agréable. Son plastique un peu léger fait de son poids un avantage pour les longues sessions de jeu. L’écran tactile de 15,7 cm de diagonale s’avère lui réactif – même si le fait d’être confronté à une interface monotouch est parfois un peu surprenant dans une ère où le multipoint est roi.

    La résolution de 854x480 points, à environ 158 ppp, en ratio 16/9, est très satisfaisante pour jouer. Même si les petites icônes auront tendance à être pixellisées et certains éléments des graphismes comme entourés d’un petit flou.

    Un gamepad, des usages

    A l’usage, le Wii U Gamepad mérite toutefois son rôle de star de la console. Si on cherchait à dresser une classification, on pourrait dire que son écran est utilisé de trois manières. Comme écran étendu, comme écran concurrent et enfin comme écran déporté. Dans le premier cas, on y affiche des informations complémentaires à l’écran principal. Cela peut être un inventaire ou même, dans certains titres, un moyen de voir au-delà de la limite d’affichage du téléviseur.

    L’écran concurrent est typiquement au cœur de l’asymétrique gameplay en multijoueur tant vanté par Nintendo. Un joueur voit, sur la manette, une interface différente de celle de ses camarades qui eux regardent le téléviseur.

    Enfin, l’écran déporté est une duplication de l’affichage principal. La meilleure illustration est bien entendu une partie solo de New Super Mario Bros. U. Dans ce contexte, le Wii U Gamepad peut tout simplement remplacer le téléviseur si on souhaite libérer ce dernier pour d’autres usages. C’est à ce moment d’ailleurs qu’on demeure un peu frustré. Frustré que le Wii U Gamepad ne soit qu’une manette et pas une console autonome. Frustré de ne pas pouvoir plus s’éloigner de la Wii U, comptez trois ou quatre mètres, un peu plus sans obstacle. Frustré même de ne pas pouvoir en profiter sur la Wii… Avec la question coup de cœur d’une membre de la rédaction novice en terme de console : « mais pourquoi je ne peux pas juste avoir la manette ? J’ai déjà une Wii. »

    L’ambiguïté de la relation Wii U et Wii U Gamepad

    Autrement dit, l’œil inexpérimenté ne voit pas forcément l’apport de la console au-delà de la manette. Le fait que la Wii U soit donnée pour être au moins aussi puissante que la Xbox 360 n’y fait rien. Car, en définitive, les graphismes HD (mais pas Full HD) sont agréables. Ils flattent nos rétines habituées aux pixels de plus en plus petits, mais leur apport n’est pas toujours flagrant. Zombi U pourtant très honnête graphiquement est de ceux-ci. Just Dance 4 est également le genre de jeu qui peut s’accommoder de décors assez peu détaillés. En fait, la Wii U arrive trop tard pour pouvoir séduire par ses graphismes tant nous sommes habitués à la HD et tant la Wii était un OVNI sur ce point.

    Bref, Nintendo a encore du travail pour faire comprendre que sa Wii U, ce n’est pas que le Wii U Gamepad, c’est un couple indissociable, qui a besoin de la puissance de l’une pour animer l’autre. 
    On peut même dire que la Wii U sans son gamepad n’a pas grand chose d’attirant. Ce qui focalise donc l’attention sur le Wii U Gamepad. Or, le Wii U Gamepad est utilisé de manière très différente selon les jeux, avec plus ou moins d’inspiration. Plutôt moins, pour les adaptations de jeux déjà disponibles, ce qui devrait toutefois tendre à être moins fréquent. Ce qui signifie que l’intérêt du Wii U Gamepad, dans certains jeux, n’est pas toujours évident et conséquemment ne justifie pas que le joueur opte pour la Wii U. Conclusion lourde de conséquences pour une console qui se lance sur le marché.

    Parfois, pire, l’usage du Wii U Gamepad donne l’impression que la tablette est une fausse bonne idée, une sorte de gimmick, comme a pu l’être l’utilisation systématique de la Wiimote. Heureusement à d’autres, il devient évident que c’est une réussite et une vraie bonne idée.

    En revanche, les éditeurs, et Nintendo le premier, devront faire attention à l’avenir à éviter la confusion introduite par ce double écran. Parfois, on ne sait simplement plus lequel regarder. Le téléviseur ou le gamepad ? Et cela commence dès la configuration de la console, preuve qu’il y a encore du travail de conception et de pédagogie d’un côté et un besoin de s’habituer de l’autre.

    Un potentiel prometteur

    En définitive, la Wii U est une console qui semble pleine de potentiel. Le problème est qu’une bonne partie de ce dernier n’est pas encore présent. Au-delà des manques liés à la version non mise à jour que nous avons testée, qui ne proposait pas de multimédia ou de services en ligne, la Wii U manque encore de jeux qui font envie et sauter le pas. Pire, on sait par expérience qu’une grosse partie de ce potentiel de séduction future repose sur Nintendo et un petit groupe d’éditeurs qui seront capables de produire des titres moteurs. Tout n’est pas perdu, toutefois, des titres phares existent déjà. Zombi U, Nintendo Land et New Super Mario Bros. U sont de bons prétendants à ce rôle d’incitateur à l’acte d’achat. Pour autant, à l’heure actuelle, le prix de la console de Nintendo semble encore un peu trop élevé, pour craquer sans réfléchir.

    http://www.01net.com


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    A l’avenir, Microsoft aimerait sortir un nouveau Windows par an afin de mieux s'adapter au grand public. Se pose alors la question des entreprises, qui ne pourront pas se caler sur ce rythme.

    La rumeur d’une nouvelle version de Windows se précise. En août, nous vous avions parlé de Windows Blue, mais très peu de détails circulaient alors sur ce logiciel. Le sujet est relancé par notre confrère The Verge qui, s’appuyant sur « plusieurs sources », confirme que Microsoft travaille bien sur un successeur de Windows 8 au nom de code Windows Blue, avec une date de lancement prévue pour… mi-2013 ! Soit seulement un an après Windows 8. Et il ne s’agira pas simplement d’une version intermédiaire, mais d’une mise à jour majeure, avec « des modifications au niveau de l’interface et sur la totalité de la plateforme ». Etonnant non ? Pas tant que cela.

    Apparemment, Microsoft souhaiterait accélérer son cycle de développement et proposer, à l’avenir, un nouveau Windows par an, comme c’est le cas pour les systèmes d’exploitation pour mobiles et tablettes d’Apple et de Google. La tarification serait revue largement à la baisse, pour favoriser l’adoption. Selon The Verge, Windows Blue pourrait même être gratuit ! Le nouveau Windows sera accompagné d’un nouveau kit de développement et les nouvelles « apps » devront forcément être compatibles Windows Blue, sinon elles ne seront pas acceptées dans la boutique en ligne Windows Store.

    Vers une séparation pro/grand public ?

    Avec un lancement annuel des versions de Windows, Microsoft cherche à coller davantage aux goûts du grand public, toujours friand de nouveautés. A l’inverse, cette nouvelle stratégie – si elle se vérifie – pourrait poser problème aux entreprises, comme le pensent certains analystes de marché.  En effet, les services informatiques ne pourront pas faire un déploiement de Windows tous les ans. Leurs cycles de migration sont d’au moins trois ans.

    D’ailleurs, depuis que Microsoft a fusionné ses plateformes professionnelles et grand public, les entreprises sont toujours en décalage par aux consommateurs. « Windows 8 vient de sortir, mais dans les entreprises, les projets de déploiement actuels portent sur Windows 7 », souligne ainsi Thierry Petit, directeur de Dell France. Comment résoudre ce dilemme ? Peut-être en séparant à nouveau les plateformes grand public et professionnelles…  

     Source : http://www.01net.com


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