•  

    Equipe-de-France-de-football

    Grâce à un but d'Olivier Giroud à la dernière seconde de jeu, l'équipe de France a tenu en échec les champions du monde et d'Europe espagnols (1-1), mardi soir, pour les qualifications du Mondial de football 2014. Un nul en forme d'exploit pour les Bleus, qui ont loin d'avoir démérité.

     

    C'est un nul qui ressemble à une victoire pour l'équipe de France. Un but d'Olivier Giroud dans les arrêts de jeu a permis aux Bleus de ramener un point de Madrid, où ils affrontaient mardi les champions du monde et d'Europe espagnols (1-1). La sélection de Didier Deschamps conserve ainsi ses chances de terminer en tête du groupe I pour se qualifier directement pour le Mondial-2014.

    S'il reste un match retour le 26 mars au Stade de France entre les deux nations, toujours à égalité en tête de la poule avec 7 points, le but de l'attaquant d'Arsenal est de nature à changer la donne. L'exploit est en effet immense pour une formation donnée battue d'avance avant ce voyage chez la référence du football mondial, invaincue en compétition depuis 23 matches.

    Une brillante seconde mi-temps

    Les Bleus peuvent surtout se réjouir d'une brillante seconde période, durant laquelle ils ont renversé une situation des plus compromises après l'ouverture du score de de Sergio Ramos, après une faute de main de Hugo Lloris (26e minute). L'erreur du capitaine et gardien français a failli coûter très cher et intervient quatre jours après une prestation quelconque face au Japon (défaite 1-0), vendredi en amical au Stade de France.

    Mais le portier français a ensuite stoppé un penalty de Fabregas (41e) avant de sortir une double parade décisive (45e). L'équipe de France a ensuite poussé en seconde mi-temps, s'offrant des occasions de but, sans jamais les réaliser. Avant finalement la délivrance d'Olivier Giroud.

    Source : http://www.lejdd.fr


    votre commentaire
  •  

    L'analyse statistique de la finale de Shanghai montre que le Serbe, au bord de la défaite face à Andy Murray, est loin d'avoir usurpé sa victoire (5-7, 7-6, 6-3).

     

    novak

     

    Novak Djokovic a frôlé lé défaite face à Andy Murray. Mais s'il est convenu de dire qu'une victoire de l'Ecossais aurait été méritée, celle du Serbe est tout de même loin d'être un hold-up, tant le combat dans lequel il s'est jeté a été total. Djokovic a sauvé cinq balles de match, dont deux sur le service de Murray dans un jeu décisif à rallonge, et a connu des sautes d'humeur, dont une raquette fracassée au sol s'en souvient encore, mais il n'a jamais perdu le fil. Sa progression sur sa réussite derrière sa première balle tout au long du match montre que le Serbe est monté en puissance au cours de la finale. De 50% au premier set, il a terminé le match avec 88% de réussite en troisième manche, pour une moyenne de 69% contre 65% pour Murray.

    Pour quasiment le même nombre de coups gagnants (32 contre 30), Djokovic a commis dix fautes de moins que Murray (38 contre 48). Autre facteur visible de son succès, ses balles de break : le Serbe en a obtenu treize, contre six pour l'Ecossais, avec au final une de plus convertie par rapport à son adversaire. Sur les cinq breaks de son adversaire, Djokovic a concédé son service trois fois de suite lors du premier set. Murray, lui, a lâché son service à six reprises, au moins une fois par set, dont deux dans le dernier acte. Les secondes balles ont été exploitées à fond par les deux finalistes. A ce petit jeu, le Britannique a été malheureux sur l'ensemble de la partie avec 46% de réussite, contre 48% pour Djokovic qui n'a été performant que dans le deuxième set. Celui qu'il ne fallait pas perdre.

    Source : http://www.eurosport.fr


    votre commentaire
  •  

    Battu 2-0 à l'aller sur la pelouse du Mozambique, le Maroc a inversé la tendance samedi soir sur sa pelouse de Marrakech en s'imposant 4-0 devant son public. Les Marocains disputeront la CAN 2013.

     

    maroc

    Le Maroc a décroché sion ticket pour la CAN 2013, en venant à bout du Mozambique (4-0), samedi soir à Marrakech. Pour cette première sortie officielle de l'ère Rachid Taoussi, les Marocains s'assuraient d'entrée une domination sans partage, mais peinaient longtemps à régler la mire. Les centres étaient pour la plupart imprécis, et les coups de pied arrêtés tous très mal tirés. Il fallait attendre un décalage d'El Arabi pour voir la première véritable occasion, mais l'attaquant de Grenade envolait sa frappe (25eme). Accrocheur, l'ancien joueur de Caen était une première fois récompensé de ses nombreux efforts, quand son centre trouvait Barrada aux six mètres. Comme à la parade, le sociétaire de Getafe décroisait sa tête (39eme, 1-0). La première partie du chemin vers l'Afrique du Sud était faite, les Lions de l'Atlas regagnaient les vestiaires sous les clameurs du public. 

    Après la pause, Assaïdi était lancé dans la bataille à la place d'Aqqal, très décevant. L'entrée de l'ailier gauche faisait beaucoup de bien aux Marocains, dont les attaques gagnaient en précision. Une approximation de Lamyaghri plus loin (52eme), et les Lions de l'Atlas, poussés par le public de Marrakech, reprenaient leur domination. El Arabi ratait encore le cadre sur un bon centre de Barrada (55eme). Le Mozambique allait finir par craquer. Miro assénait un coup de coude à Barrada. Déjà averti, le capitaine prenait son deuxième carton et laissait son équipe à dix. Kharja exécutait la sentence (64eme, 2-0). Après de longues minutes d'interruption suite à la sortie du portier mozambicain, le Maroc repartait à l'assaut. A quelques minutes du terme, El Arabi marquait le but de la qualification d'une tête piquée sur un superbe centre de Bergdich (85eme, 3-0). Le dernier but parachevait le triomphe. Il était l'oeuvre d'Amrabat (90eme +4, 4-0), inexplicablement oublié à l'aller par Eric Gerets. Tout un symbole. 

    Le onze marocain : Lamyaghri - Belakhdar, El Adoua, Benatia, Bergdich - El Ahmadi, Kharja - Barrada, Belhanda (Amrabat, 71eme), Aqqal (Assaïdi, 46eme) - El Arabi.

    Source : http://www.sport365.fr


    votre commentaire
  •  

    Défait le mois dernier au Mozambique (2-0), le Maroc qui a limogé Eric Gerets après cette défaite, joue sa dernière chance de participer à la CAN 2013 samedi soir à Marrakech. Une rencontre couperet que le capitaine de la sélection marocaine, Hossine Kharja aborde avec une détermination décuplée. Entretien.
    2226971_maroccan_640x280
    Comment le Maroc a-t-il pu être autant dominé le mois dernier par la 107e nation mondiale ?

     

    Hossine Kharja. Nous avons été bidons dans l’envie et la détermination. En Afrique, ces qualités sont déterminantes car le contexte est toujours très particulier. Sur le plan du jeu, nous nous sommes créés de belles opportunités mais nous n’avons pas réussi à marquer ce but à l’extérieur.

     

    Cette défaite a coïncidé avec le limogeage d’Eric Gerets. Comment jugez-vous son passage à la tête de la sélection marocaine ?

    Les résultats n’ont pas été à la hauteur. Maintenant, Gerets n’a pas eu de chance pendant la période où il a dirigé le Maroc. Et pour être franc, les joueurs eux aussi ont une vraie part de responsabilité. Pour moi, c’est du 50-50 !

    La divulgation de son salaire, estimé à 200 000 euros mensuels, a rapidement fait le lit de la polémique au Maroc...

    C’est vrai que cela a braqué le public marocain. Cette histoire de salaire faramineux ne l’a pas lâché. En même temps, il faut aussi dire la vérité à l’opinion publique. C’est le Maroc qui est venu le chercher. C’est un entraîneur de premier plan à l’échelle mondiale qui avait réussi des bons résultats partout où il était passé.

    Séduisante sur le papier, votre sélection, à l’image d’un Marouane Chamakh, ne parvient pas à confirmer son potentiel. Comment l’expliquez-vous ?

    Oui, c’est clair. On n’est pas à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre. La mayonnaise n’a pas pris. Quant à Marouane, là il n’a plus de temps de jeu, il n’est pas avec nous. Avec son club, il avait réussi des bons débuts mais le retour de Van Persie a été difficile à gérer.

    L’arrivée de Rachid Taoussi, un coach marocain peut-elle provoquer l’union sacrée au sein des Lions de l’Atlas ?

    Oui, cela peut provoquer un choc psychologique salvateur. Je sens plus de détermination depuis le début du stage. Notre public est de nouveau mobilisé par le sort de son équipe nationale.

    Comment serait vécue une élimination ?

    Je ne préfère même pas y penser. On n’a pas été intérêt à se planter...

    Source : http://www.leparisien.fr


    votre commentaire
  •  

     

    Djokovic

    Malgré plusieurs frayeurs face à un Tomas Berdych trop inconstant, Novak Djokovic s’est hissé pour la première fois de sa carrière en finale du tournoi de Shanghai (6/3 6/4).  

    Tomas Berdych ne s’en est jamais caché, il redoute Novak Djokovic plus que n’importe quel autre élément du circuit. Face au n°2 mondial, le géant tchèque a pris la mauvaise habitude de perdre ses moyens, raflant uniquement une seule de leurs dix confrontations passées. Et la nouvelle opposition entre les deux hommes, en demi-finales du tournoi de Shanghai samedi, n’a pas dérogé à la règle, permettant à Djokovic de se qualifier pour sa première finale au sein de la ville chinoise.

    Berdych, contestataire régulier
    Car à y regarder de plus près, Berdych a mâché le travail du Serbe en début de partie. Gêné par la longueur de balle de Djjokovic, trop tendre dans ses frappes de balle et auteur de multiples fautes, il lui a offert un break d’entrée de jeu. Un avantage précieux pour le natif de Belgrade, en difficulté pour conclure une première manche globalement à son avantage dans tous les compartiments du jeu (6/3). Le vainqueur de l’Open d’Australie, plus solide sur ses engagements, s’est montré réaliste en convertissant ses deux seules balles de break.

    Enhardi par une fin de premier set encourageante, Berdych n’est pas parvenu à confirmer ses nouvelles dispositions. Plus régulier dans ses sauts d’humeur envers l’arbitre et ses décisions que dans le jeu, Le Tchèque a multiplié les mauvais choix dans la seconde manche, à l’image de ce coup droit abordable envoyé en plein milieu du filet. Soit l’inverse de sa prestation de la veille contre Jo-Wilfried Tsonga. Résultat : Berdych s’est montré incapable d’inverser la tendance et de faire véritablement douter un Djokovic loin d’être au sommet de son art. Plombé par un nouveau break et des statistiques horripilantes en retour (5% de points gagnés sur la première balle du Djoker), le 7e joueur mondial a lâché prise sans avoir vraiment combattu. Un revers à la fois cinglant et peu rassurant à un mois de la finale de Coupe Davis contre l’Espagne (16-18 novembre) qui ne remet toutefois pas en cause la qualification programmée du Tchèque pour le Masters de Londres. Djokovic en profite de son côté pour garder Roger Federer, attendu contre Andy Murray dans l’autre demi-finale, et le sommet de la hiérarchie mondiale dans son viseur. 

    Résultat des 1/2 finales :
    Djokovic (Srb, 2) - Berdych (Rtc, 4) 6/3 6/4 

    Source : http://www.sport24.com


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique