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    ribery

    Dans un entretien accordé à Bild, Franck Ribéry a parlé du PSG, qu'il n'est pas près de rejoindre. Son ambition : devenir le Zidane du Bayern auprès des jeunes.

    Franck Ribéry a affirmé vendredi vouloir être une sorte de Zinedine Zidane pour les jeunes joueurs du Bayern Munich, dans une interview à la presse allemande. "Je parle beaucoup avec les jeunes joueurs, j'essaie de les aider. Comme l'a fait Zidane avec moi", confie-t-il au quotidien Bild. "J'ai eu la chance de pouvoir jouer avec lui lors du Mondial 2006. Il a été comme un grand frère pour moi, j'ai beaucoup appris de lui", ajoute-t-il.

    Interrogé sur son avenir au Bayern où il est sous contrat jusqu'en 2015, "Kaiser Franck", comme le surnomment certains supporters allemands, assure encore: "Mon contrat court jusqu'en 2015 et je ne veux plus partir d'ici. Je n'ai jamais autant été aimé ailleurs!" Et si le Paris SG lui faisait une offre?"Alors ils doivent me proposer au moins 20 millions d'euros de salaire net annuel !". "C'est une blague", ajoute le joueur en s'esclaffant. "Sérieusement: à Paris, on développe un nouveau projet (...) Mais je vous en prie, le PSG ce n'est quand même pas le Bayern !".

    "Certain d'être champions"

    Franck Ribéry, 29 ans, assure également que le Bayern Munich, où il évolue depuis cinq ans, va remporter le championnat d'Allemagne cette saison. "Je suis 100% certain que nous allons être champions", souligne-t-il alors que le club munichois dispose de dix points d'avance sur son premier poursuivant, Leverkusen, avant la 15e journée de championnat. Mais "nous devons faire attention et ne plus faire d'erreurs comme l'an dernier contre des plus petits clubs", poursuit-il alors que le Bayern Munich affronte samedi le tenant du titre Dortmund (3e) pour un duel au sommet de cette première partie de saison. L'an dernier, "nous avions 8 points d'avance et pourtant c'est Dortmund qui est devenu champion. Je suis certain que nous en avons tiré les leçons".

    Source : http://www.eurosport.fr


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    l-agent-de-police-et-le-sdf

    A New York, un agent de police qui a offert une paire de bottes à un sans-abri est devenu la nouvelle fierté nationale.

    C’est une histoire émouvante qui nous est rapportée par le journaliste David Goodman, du New York Times. Un soir de ce mois de novembre, l’officier de police Lawrence Deprimo faisait sa ronde à Times Square, lorsqu’il a aperçu un sans-abri, plutôt âgé, marcher dans la rue sans chaussures. Le policier a disparu quelques instants pour revenir vers le SDF et lui offrir une paire de bottes neuves. Il s’est ensuite agenouillé pour aider le malheureux à enfiler ses nouvelles chaussures.

    Un ange tombé du ciel

    Cet acte de gentillesse n’est pas passé inaperçu puisqu’une touriste de l’Arizona qui passait par là et qui a été très touchée par ce geste, a pris un cliché pour immortaliser ce moment. Elle a ensuite envoyé la photo au département de police de New York qui l’a posté sur sa page facebook. L’agent Deprimo est depuis devenu un héros sur la Toile. La photo a déjà été likée plus de 300.000 fois et commentée plus de 16.000 fois. "Que Dieu bénisse cet officier", peut on lire sous la photo, "ce policier est un ange tombé du ciel".

    Certains sont toutefois sceptiques et soupçonnent une petite mise en scène, mais l’explication donnée par Jennifer Foster, celle qui a pris le cliché, est claire, ce n’était pas une mise en scène :

    "Alors que je m’approchais du sans-abri, un de vos agents est arrivé. Il lui a dit 'j’ai ces bottes en taille 45 pour vous, elles sont tout terrains. Je vais vous aider à les enfiler'. L’agent s’est alors abaissé et l’a aidé à enfiler une paire de chaussette et les bottes. L’officier n’attendait rien en retour et il n’a pas remarqué que je les observais".

    "On pouvait voir des ampoules à ses pieds"

    Le nouveau héros, Lawrence Deprimo, 25 ans, a rejoint le département de police de New York en 2010. Il a été très surpris par l’engouement suscité par la photo. D’ailleurs il n’a pas été prévenu de la mise en ligne de la photo et le département de police n’a révélé son identité que plusieurs heures après la diffusion du cliché. "Il faisait glacial dehors et on pouvait voir des ampoules sur les pieds du malheureux", a raconté l’agent Deprimo. "J’avais deux paires de chaussettes aux pieds et pourtant j’avais encore très froid". Le policier et le sans-abri ont alors discuté un moment, puis Deprimo est allé dans un magasin de chaussures. Le vendeur du magasin a offert au policier, la ristourne dont il bénéficie en tant qu’employé. Le policier a ensuite assumé à ses propres frais les 75 dollars (60 euros) restants. "Je garde le ticket dans la poche de ma veste pour ne pas oublier que des gens sont moins bien lotis que moi".

    L’identité du sans-abri reste un mystère, mais d’après l’agent Deprimo, "c’est l’homme le plus poli que j’ai jamais rencontré". Il a également rapporté que le visage de l’homme s’est ébloui lorsqu’il a vu les chaussures. "Je lui ai aussi proposé un café, mais une fois les bottes à ses pieds, il a continué son chemin et je suis retourné à mon poste".

    Source : http://www.gentside.com


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    windows-blue

    A l’avenir, Microsoft aimerait sortir un nouveau Windows par an afin de mieux s'adapter au grand public. Se pose alors la question des entreprises, qui ne pourront pas se caler sur ce rythme.

    La rumeur d’une nouvelle version de Windows se précise. En août, nous vous avions parlé de Windows Blue, mais très peu de détails circulaient alors sur ce logiciel. Le sujet est relancé par notre confrère The Verge qui, s’appuyant sur « plusieurs sources », confirme que Microsoft travaille bien sur un successeur de Windows 8 au nom de code Windows Blue, avec une date de lancement prévue pour… mi-2013 ! Soit seulement un an après Windows 8. Et il ne s’agira pas simplement d’une version intermédiaire, mais d’une mise à jour majeure, avec « des modifications au niveau de l’interface et sur la totalité de la plateforme ». Etonnant non ? Pas tant que cela.

    Apparemment, Microsoft souhaiterait accélérer son cycle de développement et proposer, à l’avenir, un nouveau Windows par an, comme c’est le cas pour les systèmes d’exploitation pour mobiles et tablettes d’Apple et de Google. La tarification serait revue largement à la baisse, pour favoriser l’adoption. Selon The Verge, Windows Blue pourrait même être gratuit ! Le nouveau Windows sera accompagné d’un nouveau kit de développement et les nouvelles « apps » devront forcément être compatibles Windows Blue, sinon elles ne seront pas acceptées dans la boutique en ligne Windows Store.

    Vers une séparation pro/grand public ?

    Avec un lancement annuel des versions de Windows, Microsoft cherche à coller davantage aux goûts du grand public, toujours friand de nouveautés. A l’inverse, cette nouvelle stratégie – si elle se vérifie – pourrait poser problème aux entreprises, comme le pensent certains analystes de marché.  En effet, les services informatiques ne pourront pas faire un déploiement de Windows tous les ans. Leurs cycles de migration sont d’au moins trois ans.

    D’ailleurs, depuis que Microsoft a fusionné ses plateformes professionnelles et grand public, les entreprises sont toujours en décalage par aux consommateurs. « Windows 8 vient de sortir, mais dans les entreprises, les projets de déploiement actuels portent sur Windows 7 », souligne ainsi Thierry Petit, directeur de Dell France. Comment résoudre ce dilemme ? Peut-être en séparant à nouveau les plateformes grand public et professionnelles…  

     Source : http://www.01net.com


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    Escadron Aérien de la Gendarmerie Royale "La Formation"

     

    Escadron Aérien de la Gendarmerie Royale "La Maintenance"

     

     

    Escadron Aérien de la Gendarmerie Royale "Les Missions"

     
     

     

     

     


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    cyno

    C’est en 1975 que fut créé le premier Chenil Central de la Gendarmerie Royale, dont la raison d’être est de former des équipes cynophiles capables d’accomplir des missions où l’action des chiens est susceptible d’apporter une aide précieuse aux enquêteurs.

    Devant les résultats encourageants obtenus lors des diverses investigations judiciaires, nécessitant l’utilisation des chiens, la Gendarmerie Royale créa progressivement neuf chenils régionaux  répartis à travers le Royaume. (Voir carte d’implantation) Cet effort soutenu de décentralisation a abouti à la mise sur pied d’unités cynophiles dans la quasi-totalité des commandements régionaux de la Gendarmerie Royale. De plus, plusieurs formations spécialisées ont été dotées de chiens spécialisés et ce en fonction de leurs besoins spécifiques. Actuellement, le nombre d’unités canines en activité à travers le Royaume s’élève à 25.

    Ainsi le «chenil central» qui subissait auparavant une forte pression en demandes de concours de la part des unités territoriales changea d’appellation et devint ainsi le «Service Central  Cynotechnique de la Gendarmerie Royale» pour se consacrer davantage aux missions de formation qui lui incombent tout en continuant à prêter main forte, en cas de besoin, aux unités de l’arme.

    INFRASTRUCTURE ET IMPLANTATION

    Le Service Central Cynotechnique de la Gendarmerie Royale est situé au sud-ouest de la ville de Témara. Cette situation géographique idéale - entre la mer et la forêt - permet d’effectuer les diverses stimulations nécessaires à la familiarisation et à l’éducation des chiens.
    L’établissement couvre une superficie de plus de 4 hectares. Il englobe un casernement composé, en grande partie, de bâtiments récents et fonctionnels ainsi que d’une infrastructure cynotechnique très élaborée, d’une capacité d’hébergement de 81 bêtes. Le centre dispose également d’une clinique moderne.

    ORGANISATION

    Deux catégories de personnel servent au Centre de Formation des Maîtres-chiens de la Gendarmerie Royale :  d’une part le personnel militaire,  composé des officiers et sous-officiers d’encadrement ainsi que des gradés et gendarmes stagiaires détachés des unités externes à la formation et d’autre part le personnel civil constitué de valets de chenils chargés de l’entretien des installations, la préparation et la distribution de la nourriture.

    A- Section vétérinaire

    Cette section englobe le dispositif de gestion et de maintien en condition de la totalité de l’effectif canin de la Gendarmerie Royale. Elle a pour tâche essentielle la surveillance sanitaire et la pratique des interventions chirurgicales jugées nécessaires ainsi que le ravitaillement en produits alimentaires et pharmaceutiques des unités. Elle assure également le suivi des mouvements, des mutations, des radiations, ainsi que toutes les formalités liées au déclassement et à la réforme des chiens.

    Alimentation

    Au niveau de l’alimentation, les infirmiers vétérinaires de la section veillent à ce que la ration alimentaire quotidienne du chien soit équilibrée aussi bien sur les plans qualitatif et quantitatif que sur le plan énergétique. La ration alimentaire doit être ainsi relative à l’effort fourni, selon que le  chien n’est pas utilisé (ration d’entretien), ou au contraire lors d’un déploiement dans une mission où il a fourni un effort physique inhabituel (ration de travail).

    Hygiène

    S’agissant de l’hygiène corporelle et de l’habitat, les soins courant sont dispensés par le maître-chien. Ils consistent essentiellement en un pansage minutieux de l’animal qui s’accompagne normalement d’un nettoyage complet du box. Les soins vétérinaires sont effectués en cas d’affection bénigne, par une médication courante de première urgence par les infirmiers vétérinaires dans l’attente d’un diagnostic et la prescription d’un traitement approprié par le médecin vétérinaire du centre.

    Prophylaxie

    La prophylaxie contre les maladies contagieuses est assurée grâce à un nettoyage quotidien des locaux et ustensiles, aux vermifugations et aux désinfections périodiques.

    B- Section instruction

    Le travail de l’encadrement cynophile consiste en :

    • La sélection

    A l’arrivée au centre, les chiens  subissent un examen caractériel très poussé. En fonction de son comportement et de ses réactions, le formateur pourra étudier le caractère de l’animal et apprécier ses aptitudes, afin d’être en mesure à l’issue de cette phase primaire, de proposer son classement dans une spécialité.

    • Le débourrage

    Au cours du débourrage d’orientation, le moniteur s’attache essentiellement à vérifier notamment les aptitudes dans la spécialité vers laquelle le chien est orienté et à éventuellement parfaire son éducation dans celle-ci. C’est au cours de cette étape que les instructeurs choisiront l’animal qui convient au futur maître.

    • La constitution des équipes

    La constitution des équipes «maître-chien » est capitale car c’est en fait, de l’amalgame le plus parfait possible réalisé entre l’homme et la bête que dépendront à la fois la conduite du dressage de spécialisation et le rendement ultérieur de l’équipe constituée.
    Pour cela, les instructeurs essayent au mieux de former des couples compatibles, en tenant compte de :

    • l’aspect caractérologique du gendarme
    • ses préférences pour les races de chiens
    • ses capacités physiques

    La section instruction, de par son rôle de formation, est chargée de déterminer le besoin du centre en personnel pour :

    • doter les unités cynophiles nouvellement créées.
    • remplacer les maîtres-chiens déclassés dans le cadre du rajeunissement de l’effectif cynotechnique.

    Le candidat maître-chien

    En plus des connaissances professionnelles du gendarme, le métier de maître-chien exige des qualités spécifiques de la part du maître : tolérance et empathie envers l’animal, débrouillardise, autonomie et capacité de reconnaître l’instinct naturel de la bête.

    La surveillance technique des équipes en service

    Cette surveillance s’exerce par une liaison permanente entre le centre de formation des maîtres-chiens et les unités canines externes en service dans les régions de la Gendarmerie Royale.
    Elle est réalisée par l’envoi :

    • d’une part, au centre, par chaque maître-chien et pour chaque intervention, d’un rapport technique d’intervention mentionnant la nature de l’affaire dans laquelle a été utilisé le chien, les résultats obtenus, l’état de santé du chien, ses observations personnelles et éventuellement les enseignements à tirer.
    • d’autre part, par le commandant de brigade cynophile, d’un rapport mensuel d’activités et des missions accomplies par les cynotechniciens de son unité.

    L’exploitation des documents permet :

    • d’établir des statistiques annuelles concernant les résultats et les conditions d’emploi.
    • d’étayer sur des données réelles, l’enseignement dispensé aux maîtreschiens.
    • de désigner pour suivre le stage de recyclage les équipes dont l’efficacité n’est plus probante.

    MISSIONS DU SERVICE CENTRAL CYNOTECHNIQUE DE LA GENDARMERIE ROYALE

    A- Mission de formation

    Chargé d’étudier et de tenir à jour les méthodes d’instruction cynotechnique et la doctrine d’emploi, le Service Central Cynotechnique constitue un véritable creuset d’expérimentations et un conservatoire du savoir-faire le plus pointu en matière de cynotechnie au Maroc.

    La formation cynotechnique est dispensée à deux niveaux :

    • le stage de formation des maîtres-chiens : organisé au profit des nouvelles recrues et des anciens maîtres-chiens ayant perdu leurs animaux (décès, réforme, etc.) il débute au mois de septembre et dure trois mois. Il assure une formation de base pour les différentes spécificités. Ce stage est sanctionné par une attestation de qualification à l’emploi de maître-chien.
    • les stages de recyclage et de perfectionnement : Programmés ou exceptionnels, après un séjour d’activité, l’équipe revient au centre pour un stage de perfectionnement qui dure un mois et au cours duquel l’encadrement essaie de résoudre les éventuels problèmes survenus pendant cette période d’activité. Ce stage ressemble au stage initial de formation sauf que les exercices sont poussés vu les expériences vécues par l’équipe.

    Par la suite, tous les trois ans, chaque équipe, selon sa spécialité, doit participer à des stages de recyclage et ce jusqu’à la fin de la carrière du chien.

    A l’issue d’un stage de recyclage, les candidats ayant plus de quatre ans d’ancienneté peuvent prétendre à l’obtention d’un Certificat d’Aptitude à l’Emploi de Maître-chien. Le service forme ses équipes tant sur le plan théorique que pratique.

    Répartition périodique d’un stage :

    Après la phase commune, succède celle de l’apprentissage initial à la spécialité dont le but est de préparer chaque équipe selon sa spécificité, à travailler dans diverses situations :

    • recherche de personnes égarées
    • dépister les criminels
    • découvrir des objets perdus ou les éléments de preuves sur les lieux d’un crime
    • détecter des stupéfiants ou des matières explosives, etc.

    Pour former ses chiens, le centre a mis à la disposition des formateurs et de leurs élèves le matériel nécessaire qui permet de former les équipes cynophiles et de les préparer aux diverses situations : contrôles sur axes routiers, ports, aéroports, visites domiciliaires, etc.
    Les exercices ne se limitent pas seulement à l’enceinte de l’école, ils sont effectués dans différents lieux : ateliers du service central des matériels, escadrons, forêts, montagnes…

    B- Missions opérationnelles d’intervention

    La raison d’être du centre est de mettre à la disposition de la population à travers les unités de Gendarmerie, des équipes «homme/chien» capables d’intervenir dans toutes les situations où l’action du maître comme celle de son chien sont en mesure d’apporter une solution rapide et  efficace, raison pour laquelle le centre prépare des équipes cynophiles pour différentes spécificités à savoir :

    Piste et défense

    Plus spécialement formées au pistage mais également à la garde, au guet et à l’attaque, ces équipes viennent en aide aux enquêteurs qui travaillent sur des dossiers de découverte de cadavres, d’identification de personnes, de localisation d’objets, etc.

    Ces équipes peuvent retracer un criminel en fuite ou des personnes disparues, et s’il n’y a pas de traces, elles parviennent à trouver le moindre petit objet laissé à l’abandon sur un terrain et qui peut servir de pièce à conviction.

    L’équipe cynophile peut aussi aider au contrôle des foules, conjointement avec l’équipe anti-émeute.
    Dans les points sensibles, ces équipes agissent par rondes de sécurité, isolément ou en tête d’un élément de protection, à la recherche des indices de pénétration ou la présence de suspects à  l’intérieur et éventuellement à la périphérie d’une installation. Ceci dans le but de pouvoir donner l’alerte, le cas échéant ou de participer éventuellement à la neutralisation du ou des individus suspects.

    Détection des explosifs

    Il existe certes, des technologies de pointe qui peuvent indiquer la présence d’un explosif dans un endroit précis, mais ces technologies ne sont pas assez développées pour trouver la source d’une odeur. Le chien est en mesure de faire ce travail de façon presque instantanée.
    Ces équipes sont toujours sollicitées et peuvent être employées dans des missions de sécurité pour des fouilles à caractère préventif ou pour la confirmation de renseignements concernant la présence d’explosifs : bombes, cartouches, armes…

    Recherche de stupéfiants

    Le chien de recherche de stupéfiants peut être utilisé à l’occasion de visites de perquisitions et de saisies effectuées selon les lois en vigueur. Et, de façon générale, dans les lieux où il est susceptible d’intervenir.

    C- Missions techniques

    L’achat des chiens se fait sous certains critères précis ; il s’agit de sélectionner le chien qui correspondra le mieux à son futur emploi. La commission d’achat bénéficie d’une grande liberté dans le choix de ses chiens, elle lui incombe la responsabilité de trouver un chien ayant les qualités nécessaires à une adaptation rapide à l’une des spécialisations entreprises au centre.

    Les chiens

    Les achats sont réalisés en Allemagne, en Belgique et en Angleterre. Le chien acheté doit répondre à certains critères :

    • se rapprocher au maximum du standard de la race
    • être âgé de 1 à 2 ans
    • être de sexe mâle
    • être régulièrement vacciné
    • le certificat de naissance et le pedigree sont exigibles au moment de l’achat.

    Il doit également satisfaire à différents examens :

    • Examen sanitaire : Vérification de l’état de santé général du chien et des vaccins (radio des hanches pour écarter la dysplasie).
    • Examen morphologique : Correspondance avec le standard de la race
    • Examen caractériel : Contrôle de la vigilance, de l’agressivité et de l’équilibre nerveux de l’animal.

    Les races

    La Gendarmerie Royale a recours à des chiens jugés aptes au travail : doués, robustes, courageux et prédisposés à l’emploi dans des conditions climatiques rigoureuses. Ces chiens sont les Bergers allemands, les Bergers belges, les Labradors, les Golden- Retreivers et les Cockers-spaniels. Depuis la nuit des temps, le chien, quelque soit sa race, est considéré par l’homme comme son meilleur compagnon. Fidèle, intelligent et affectueux, il a su se faire une place aussi bien dans son foyer que dans son coeur. Au fil des jours cette amitié s’est transformé en véritable complicité que l’homme a su investir pour améliorer sa propre sécurité : assistance aux non voyants, protection rapprochée, défense, secours, pistage… autant de d’aptitudes que le Centre de Formation des Maîtres-chiens de la Gendarmerie Royale ne cesse de développer chez ce magnifique ‘’binôme’’ qu’est le maître et son chien.

     

    Source : La revue de la Gendarmerie Royale, N°5, Avril 2004


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