Deux membres d’une bande de quatre malfaiteurs ont été arrêtés par les éléments de la gendarmerie royale d’Aklim, dans la région de Berkane, pour avoir cambriolé plusieurs maisons appartenant surtout aux marocains résidants à l’étranger.

Le Haut Commandement de la Gendarmerie royale cherche à renforcer l’arsenal anti-émeutes au Maroc. Mais la gendarmerie n’est pas le seul corps concerné, la Sûreté nationale l'est aussi.

Au cœur de sa Une de l’édition de ce weekend (23-24 mai courant), Al Massae dévoile un "petit scoop". Selon une source bien informée, le Haut Commandement de la Gendarmerie royale a passé commande d’équipements modernes pour renforcer les mesures sécuritaires des forces d’intervention et pour disperser les manifestations non autorisées. Parmi le nouveau matériel réceptionné, on trouve des véhicules blindés et des voitures réaménagées. Ces engins sont munis de systèmes de détection à distance qui peuvent déceler les menaces et les explosifs sur un rayon de dix kilomètres.

Détection des dangers

Ces véhicules sont également équipés de caméras de surveillance et peuvent servir, écrit Al Massae, à la protection des postes frontières sensibles au Nord comme au Sud.  Al Massae indique également que la Gendarmerie royale s'est procuré des équipements dernier cri de surveillance par satellite pour détecter et traquer les trafiquants de drogue entre le Maroc et l’Europe. La Gendarmerie compte créer des unités électroniques spéciales chargées de balayer les régions classées noires pour détecter des signaux émanant des trafiquants.

Sur un autre registre, Al Massae révèle que la Garde royale a reçu de nouvelles voitures modernes avec des configurations spéciales pour renforcer le dispositif de sécurité autour du roi  Mohammed VI. Ces voitures révisées sont équipées de technologies modernes qui faciliteront le travail des gardes du corps du souverain, surtout dans les endroits dégagés et surpeuplée.

Actuellement, il existe des appareils sophistiqués qui aident les sécuritaires dans l’exercice de leurs fonctions, grâce notamment aux logiciels de traitement des images prises par les caméras dont est équipée la majorité des aéroports internationaux.

Source : http://www.le360.ma

Les forces de sécurité marocaines ont empêché un groupe 15 migrants subsahariens de passer la frontière nord de Sebta lundi dernier.

L’agence de presse espagnole EFE rapporte mardi que les forces de sécurité marocaines ont freiné la tentative d’un groupe de 15 migrants subsahariens qui voulaient passer de la frontière de Sebta.
L’opération s’est produite lundi dans l’après-midi, explique l’agence de presse, lorsque des individus ont tenté d’entrer à Sebta par la frontière nord de Benzú, plutôt que de le faire par le passage frontalier habituel de Tarajal.

Les quinze migrants ont pu arriver jusqu’à la plage marocaine de Belyounech, près de la frontière, où ils ont été arrêtés par la gendarmerie royale, qui s’était déployée dans la zone. Certains d’entre eux se sont jetés à la mer, mais ont été immédiatement interceptés par les autorités marocaines.

Cette tentative avortée grâce à l’intervention de la gendarmerie royale arrive après qu’un autre groupe de 15 à 20 immigrants se soit approché de la même frontière plus tôt dans la matinée.

Ces derniers ont été également repoussés par les forces marocaines sans pouvoir s’approcher de la barrière.

Source : http://www.h24info.ma

La gendarmerie royale et les forces auxiliaires marocaines viennent de saisir au total 2,6 tonnes de chira (résine de cannabis) près de Tétouan (nord) et à Casablanca, capitale économique marocaine, annoncent des sources de la gendarmerie royale marocaine.

Près de Tétouan, c'était 61 colis de chira, pesant 1.909 kg, qui ont été saisis, et quatre trafiquants arrêtés. Cette opération a permis également la saisie d'un canot bimoteur de 60 et 25 chevaux.
A Casablanca, une qualtité de 657 kg de chira a été saisie mercredi au port de Casablanca lors du contrôle par scanner d'un conteneur qui avait éveillé les soupçons.

Selon Noureddine El Asri, ordonnateur chargé des exportations au port de Casablanca, le mode opératoire déjoué consiste en une dissimulation de la quantité de drogue dans des séparations de bois d'emballage.
Par ailleurs, la douane a également saisi, lors d'une autre opération, 10 tonnes de tabac de narguilé, d'une valeur globale de 10 millions de dirhams, a encore souligné M. El Asri.

La stratégie anti-drogue marocaine a permis la saisie de plus de 100 tonnes de chira et mené au démantèlement de 98 réseaux de trafic au cours des six premiers mois de 2014.

Pour faire face aux réseaux internationaux de trafic de drogue, le Maroc collabore avec des pays du voisinage euro-méditerranéen.