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    Avec la participation de la Gendarmerie Royale, le Maroc et l'Espagne mènent un exercice d'évacuation en mer

    La compagnie FRS a collaboré avec les autorités de sauvetage marocaines et espagnoles pour réaliser un exercice d'évacuation. 

    L'objectif est de coordonner les organismes et administrations impliquées dans une opération de sauvetage en cas d'urgence, et ce avant le lancement de l'Opération de passage du détroit (OPE).

    En effet, le dispositif de l'OPE est conçu pour coordonner le passage de plus de deux millions de passagers et plus de 500.000 véhicules en provenance d'Europe. Ces derniers vont traverser le détroit de Gibraltar, du 15 juin au 15 septembre, pour profiter de leurs vacances d'été en Afrique du Nord.

    Alors que le ferry Algésiras Jet se dirigeait vers le port de Tarifa depuis Tanger Ville, la simulation d’inondation consistait à provoquer en premier lieu l’alarme du capitaine. Après la perte totale de propulsion, le navire est à la dérive et son évacuation est ainsi nécessaire.

    Le centre de sauvetage maritime est ainsi avisé, les ressources aériennes, maritimes et terrestres sont également mobilisées, en coordination avec les remorqueurs portuaires. Simultanément, le navire active son plan d'urgence avec l'intervention de son équipage pour procéder à l'évacuation des passagers.

    L'ensemble de l'exercice a été effectué en conformité avec le plan prévu, pour tester la réactivité du navire et de son équipage, ainsi que la coordination des différents groupes d'action impliqués dans l'opération.

    "Le résultat satisfaisant de ces manœuvres démontre que FRS réussit sans problèmes les tests de sécurité auxquels la compagnie est soumise périodiquement en maintenant un haut degré d'efficacité", assure Javier Álvarez, directeur des opérations de FRS, cité dans un communiqué. 

    La compagnie FRS a collaboré, lors de cet exercice, avec le département de la Pêche maritime, la Marine royale, les Forces royales air, la Gendarmerie royale, la Protection civile, le port de Tanger Med, ainsi que les moyens espagnols de la Sasemar et de la Guardia civil.

    Source : http://www.medias24.com


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  • 17 tonnes de haschich cachées dans des sacs de blé saisies à Agadir

    La Gendarmerie royale d'Agadir a avorté, vendredi, une opération de trafic international de stupéfiants par voie maritime, avec la saisie de 17,4 tonnes de drogues destinées aux pays scandinaves.

    Les stupéfiants étaient emballé dans des sacs portant différentes inscriptions cachés sous des sacs de son de blé. Cette opération est intervenue au niveau de la plage Tigrit, commune rurale Tamri. Lors de cette opération, il a été procédé à l'interpellation de 9 personnes et à la saisie de la somme d'un million de dirhams à titre de corruption, proposée par les trafiquants aux éléments de la Gendarmerie royale afin de faciliter ce trafic. Une housse et des munitions pour arme de chasse, deux camions, quatre véhicules légers et une barque artisanale ont également été saisis.

    Les investigations menées dans le cadre de cette enquête, sous la direction du procureur général du roi, ont révélé que les membres de ce réseau ont procédé, dans un premier temps, au débarquement de la marchandise sur la plage Tigrit pour la charger dans dix barques, en provenance du port d'Essaouira. Les trafiquants comptaient par la suite opérer un transbordement de la marchandise des barques sur deux bateaux de pêche, pour effecteur un retransbordement sur un navire de commerce, attendu au large de la zone économique pour son acheminement vers les pays scandinaves.

      Les personnes arrêtées ont été présentées à la justice et la marchandise et les moyens saisis ont été remis aux services compétents, alors que les investigations se poursuivent pour l'interpellation des autres membres du réseau.

    http://www.h24info.ma


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  • Le ministère de la Culture et le bureau de l’Unesco pour le Maghreb ont organisé, à Marrakech, une rencontre axée sur les moyens de lutte contre le trafic des biens culturels.

    Sensibilisation à la lutte contre le trafic illicite des biens culturels

    Un atelier national d’information et de sensibilisation à la lutte contre le trafic illicite des biens culturels a eu lieu, les 7 et 8 avril à Marrakech, à l’initiative du ministère de la Culture et du bureau de l’Unesco pour le Maghreb. Cette rencontre, initiée avec l’appui de l’Agence espagnole pour la coopération internationale au développement, s’intègre dans le cadre de la politique de protection du patrimoine culturel national et intervient en application des engagements du Maroc pour la mise en œuvre de la Convention de l’Unesco de 1970 relative aux mesures à prendre pour interdire et empêcher l’importation, l’exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels.

    L’atelier a bénéficié à des administrations, des services régionaux concernés par la lutte contre le trafic illicite des biens culturels, des ONG, des universitaires et des marchands d’art et d’antiquités. Il a été l’occasion pour les participants de présenter les différentes Conventions internationales, les instances internationales intervenant dans le domaine du pillage des biens culturels, ainsi que les procédures juridiques et administratives liées au trafic illicite appliquées par les autorités compétentes. À ce titre, le représentant du ministère de la Culture, Youssef Khiara, a souligné que cette rencontre a pour ambition d’approfondir la compréhension des acteurs concernés par la thématique des concepts et des instruments normatifs, éthiques et opérationnels afin de lutter contre le vol et le transfert de propriété illicites des biens culturels, de sorte que le Maroc puisse disposer de compétences pour la sauvegarde de son patrimoine culturel.

    Dans la même foulée, la représentante du bureau de l’Unesco pour le Maghreb, Sanae Allam, a affirmé l’engagement de l’Organisation à apporter son soutien à l’ensemble des organismes et des acteurs concernés par cette thématique, en vue de faire face à ce fléau qui menace le patrimoine national et l’identité du Maroc. Dans ce contexte, elle a rappelé le lancement, en avril 2015, d’un projet portant renforcement des capacités nationales en matière de lutte contre le trafic illicite des biens culturels qui a abouti à la constitution d’un noyau de formateurs en charge de la sensibilisation à la lutte contre ce phénomène. Ledit noyau est composé des représentants des ministères de la Culture et de la Justice, de la Gendarmerie royale, de la Direction générale de la sûreté nationale et de l’Administration des douanes et impôts indirects.

    Il convient de signaler que le trafic illicite des biens culturels arrive en troisième rang des activités criminelles mondiales, après le trafic des stupéfiants et des armes. Ce trafic entraîne des dommages importants pour le patrimoine matériel, notamment dans certaines régions du monde où vols et pillages sont monnaie courante. Forme de criminalité transnationale, ledit trafic touche autant les pays développés que ceux en développement.

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  • cocaine

    Les éléments de la brigade de la gendarmerie royale de Mohammédia ont procédé, mercredi 6 janvier, à l’arrestation de trois Subsahariens qui fournissaient de la cocaïne à des dealers la revendant aux consommateurs, a appris Le360 de source policière.

    Ces Subsahariens, en situation de séjour illégal au Maroc, ont été appréhendés après perquisition de leur domicile, sis à Hay Riad Essalam à Mohammédia, par les éléments de la gendarmerie royale qui étaient appuyés par la brigade cynophile et la police, précise notre source.

    L’intervention de la gendarmerie royale a eu lieu sur instruction du procureur du roi près le tribunal d’El Jadida après la récente arrestation à Sidi Bennour d’un Subsaharien en possession de 200 grammes de cocaïne. Le mis en cause avait avoué que la quantité de drogue dure lui a été remise par des dealers subsahariens qui élisent domicile à Mohammédia.

    Le quatrième prévenu, considéré comme le fournisseur principal, a été interpellé à Casablanca par les éléments de la gendarmerie royale.

    Les mis en cause ont été tous conduits à la brigade de la gendarmerie royale de Mohammedia pour complément d’enquête sous la supervision du Parquet général.

    Source : http://www.le360.ma


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  • conseil-Administration-des-Oeuvres-sociales-des-FAR

    Conformément aux Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Chef Suprême et Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées Royales, SAR la Princesse Lalla Meryem, Présidente des oeuvres Sociales des Forces Armées Royales, a présidé, lundi à l’Etat-Major Général des FAR à Rabat, une réunion du Conseil d’Administration des oeuvres Sociales des FAR.

    A son arrivée à I’Etat-Major Général des FAR,  Lalla Meryem a été saluée par le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé de l’Administration de la Défense nationale, M. Abdellatif Loudiyi, le Général de Corps d’Armée Bouchaib Arroub, Président Délégué du Conseil d’Administration et par le Général de Corps d’armée Hosni Benslimane, Commandant de la Gendarmerie Royale, avant de passer en revue un détachement du Bataillon du Quartier Général des FAR qui rendait les honneurs.

    Son Altesse Royale a, par la suite, été saluée par les membres du Conseil d’Administration.

    Pour rappel, les Services Sociaux des FAR ont été créés le 1er novembre 1963, sur Hautes Instructions Royales. Leur présidence en a été confiée à SAR la Princesse Lalla Meryem, en mars 1982. Depuis, de nombreuses et importantes réalisations socioéducatives ont été entreprises par la DGSS.

    L’instauration, depuis juillet 2003, d’un Conseil d’Administration a engendré une nette redynamisation et un enrichissement conséquent des prestations offertes. Des efforts fructueux ont également été consentis, pour l’optimisation de l’engagement des dépenses et la diversification des prestations, en harmonie avec les attentes des militaires.


    Source : http://femmesdumaroc.com

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