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    Des chercheurs néerlandais ont confirmé les résultats d'une étude de 2010 qui démontraient que nos émotions étaient perceptibles par l'odorat.

    Des chercheurs de l'Université d'Utrecht, aux Pays-Bas, ont découvert que l’émotion humaine avait une certaine odeur. En effet, il semblerait que les émotions comme la peur ou le dégoût dégagent des signaux chimiques perceptibles à l’odeur. De plus, après leurs expériences, ces chercheurs ont également découvert que ces signaux chimiques influençaient les personnes qui ressentaient ensuite elles-mêmes l’émotion qu'elles flairaient.

    Des hommes soumis à un régime spécial

    Cette étude est parue dans la revue scientifique Psychological Science. Pour faire l’expérience, le groupe de chercheurs s’est d'abord attardé sur un groupe d’hommes qui ont préalablement été soumis à un régime spécial de deux jours, pour que leur hygiène de vie et leur alimentation n’influencent pas leur odeur corporelle et vienne ainsi ternir les résultats. Il leur a donc été interdit de fumer, de voire, de faire du sport ou de consommer des aliments trop odorants. Leurs produits hygiéniques (savon, déodorant) ont eux été remplacés par des produits sans odeur.

    Pour l’expérience, les scientifiques ont demandé aux hommes de regarder des films propices aux émotions de peur et de dégoût. Ils ont donc visionné un film d’horreur et à la fin du film, les chercheurs ont prélevé des échantillons de sueur sur chacun des participants. Ensuite, les scientifiques ont réuni un groupe de femmes et leur ont fait croire qu’elles allaient procéder à des tests de vision. Pendant cette fausse expérience, elles étaient, sans le savoir, exposées aux échantillons de sueur relatifs à la peur, des hommes.

    Des résultats impressionnants 

    Toute l’expérience était filmée et les caméras se concentraient principalement sur le faciès des dames. Les scientifiques ont alors pu se rendre compte que lorsque l’odeur masculine était diffusée, l’expression faciale et les mouvements oculaires des femmes étaient similaires à ceux exprimant la peur. Les mêmes résultats ont été obtenus lorsque les femmes ont été exposées aux échantillons  de dégoût, alors qu’elles n’avaient aucune idée des odeurs auxquelles elles étaient exposées.

    La revue Psychological Science rappelle néanmoins que cette découverte n’est pas vraiment une première puisqu’une autre étude avait déjà démontrée que les personnes en couples parvenaient à ressentir les émotions comme la peur ou le désir sexuel chez leur partenaire.

    Source : http://www.gentside.com


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    google-maps-rentree

    Selon une source du Wall Street Journal, Google vient de finaliser une version de test de Maps pour iPhone. Celle-ci aurait même déjà été distribuée à un cercle restreint de bêtas-testeurs. Si les tests sont concluants, l'entreprise américaine va soumettre son application à la firme à la pomme pour la mettre sur l’App Store. Mais aucun délai n’a été précisé pour l’instant. Il sera intéressant de suivre la réaction d’Apple, le jour où cette application entrera dans le processus de validation.

    Théoriquement, ce dernier ne devrait se concentrer que sur des points techniques mais, dans le cas de Google Maps, il y aura certainement un volet « politique ». Celle-ci a toujours figuré parmi les applications natives d’iOS. Elle était développée par Apple, en s’appuyant sur les données fournies par Google. Mais elle a été éjectée avec la version 6 du système d’exploitation mobile, pour être remplacée par l’application Plans, qui est signée 100 % Apple. Une conséquence, entre autres, de la concurrence de plus en plus acerbe entre les deux géants de la high-tech.

    Le choc Plans contre Maps

    Apple acceptera-t-il l’application de son grand rival sur son iPhone ? La question est épineuse, et l’avis des utilisateurs aura du poids. Car l’arrivée de Plans n’a pas été franchement convaincante. L’avantage de cette dernière, c’est d’intégrer une fonction de navigation, ce que n’avait pas Maps. En revanche, les cartes sont de moins bonne qualité et il n’y a pas de Street View. Par ailleurs, l’application était, au départ, truffée de bugs. Un certain nombre d’utilisateurs ont tout simplement refusé de mettre à jour leur système pour pouvoir garder Maps en natif sur leur iPhone.

    On comprend qu’Apple puisse avoir des hésitations. Google Maps pour iOS pourrait phagocyter son application Plans, surtout si le géant du Web ajoute une fonction de navigation. Par ailleurs, le fait que Google ait la main sur le développement de l’appli lui permettrait, selon leWall Street Journal, d’intégrer plus de publicités ou de le rattacher à d’autres services. Pour Apple, c’est donner du grain à moudre à son rival.

    La cartographie sur smartphones est en pleine effervescence. Outre Google et Apple, Nokia s’évertue à développer des applications mobiles. Le finlandais vient de présenter une nouvelle version de son logiciel de cartographie, pour le moins intéressante. Il compte proposer ce service sur tous les smartphones, y compris l’iPhone. La guerre des cartes a commencé.

    Source : http://www.01net.com


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    Masters

    Plus que sa défaite en finale du Masters, Roger Federer retient de son année 2012 son excellent niveau de jeu. Il l'a réveillé à Londres et cela lui suffit.

    Vous n'arracherez pas à Roger Federer le moindre aveu sur une quelconque déception après sa défaite contre Novak Djokovic en finale du Masters (7-6, 7-5). En dehors de son "body language" sur la balle de match du Serbe, quand il a baissé la tête et rentré les épaules en constatant que sa chance était partie, le Suisse a traversé la fin de soirée londonienne en ne laissait derrière lui que des ondes positives, dès le discours de la remise du trophée. Et s'il a prononcé une fois le mot "regret" dans sa conférence de presse, ce fut pour immédiatement en limiter la portée. "Le petit regret, c'est peut-être d'avoir mené dans chacun des deux sets (3-0 au premier, 5-3 puis 5-4 au second), a dit le numéro deux mondial. Mais bon, c'est à la fin qu'il faut être là. Je n'ai pas su franchir la ligne d'arrivée. Je suis en paix avec la façon dont j'ai joué. C'était un match agréable à faire. Il y a avait de l'intensité, une belle atmosphère. On peut prendre du plaisir à un match comme celui de ce soir, malgré la défaite."

    Roger Federer est clairement sorti de sa finale contre le numéro un mondial avec la satisfaction du travail accompli, au lendemain d'une superbe demi-finale face à Andy Murray. A 31 ans, Federer a passé l'âge de la quête compulsive du trophée, et il est clair que la recherche de sensations purement tennistiques est devenue le moteur de sa carrière. "J'ai retrouvé un bon niveau cette semaine. C'était moins le cas à Bâle et Shanghaï, a-t-il expliqué. Je suis content qu'avec une semaine de coupure (NDLR, celle du forfait de Bercy), sans entraînement, juste une préparation mentale, d'avoir rejoué comme ça. J'ai retrouvé des trucs qui me donnent confiance pour la saison prochaine." Au moment de faire le bilan, Federer considère 2012 comme un bloc, dont émerge inévitablement sa victoire à Wimbledon. "Toute la saison a été super. J'ai bien joué. J'ai rarement eu de mauvais matches. Avec 80 rencontres, j'aurais pu en faire..."

    Federer: " J'essaie de rencontrer des jeunes dont j'étais l'idole"

    Le Suisse pousse cette logique assez loin pour ne pas accorder de réelle importance à ses 42 fautes directes, dont 24 en coup droit, qui ont donné à Novak Djokovic une partie des 96 points qui lui ont été nécessaires pour boucler cette finale. "Je ne lis pas trop les stats, a-t-il réagi. On pourrait aussi parler des trois ou quatre fois où j'ai servi à 200 km/h sur le T et où un boulet m'est revenu. Je veux bien faire 80 fautes et gagner le match, ce qui compte, c'est de bien jouer et c'est ce que j'ai fait lors de cette finale. Les coups joués sous pression comptent comme des fautes directes dans les stats. Tout dépend de la façon dont la balle vous arrive. Parfois on voit un espace, on appuie un peu trop et ça sort, mais malgré ces fautes, j'ai bien joué et ça me va. Pour moi ça ne vaut pas le coup de débattre de ça."

    Personne ne reverra Roger Federer en compétition avant l'Open d'Australie 2013, dans deux mois. D'ici là, le Suisse a prévu de couper deux semaines, participera à une tournée exhibition au Brésil début décembre et se donnera quatre semaines pleines de préparation. "Il faudra que je m'entraîne davantage en 2013, concède-t-il. Je n'ai quasiment pas eu le temps de le faire en 2012." Roger Federer s'apprête à embarquer dans sa quinzième année sur le circuit, sans l'ombre d'une hésitation sur l'envie de s'impliquer."Ce qui m'inspire, dit-il, c'est l'amour du jeu, le respect des fans, les records que je peux chasser de temps en temps et le fait de me confronter de nouvelles générations de joueurs et de styles de jeu. Pour être certain de se lever le matin pour aller encore faire un voyage au bout du monde, pour s'entraîner une fois, pour faire une énième séance d'étirement, pour faire du physique, il faut avoir de bonnes raisons. J'ai toujours gardé ça. Cette finale, je ne dis pas que ça a été drôle de la perdre, mais j'ai pris plaisir à la disputer."

    Et quand il fut demandé à Federer s'il serait toujours là sans la pression très forte de l'élite du tennis mondial, incarnée par Djokovic, Murray ou Nadal, la réponse a fusé, claire comme un ace : "Oui. Comme je l'ai dit c'est un ensemble de choses qui fait la motivation. Novak, Andy and Rafa ne sont pas les seuls joueurs à prendre en compte. J'ai d'autres adversaires. J'essaie notamment de rencontrer des jeunes dont j'étais l'idole, ce qui a toujours le don de m'étonner, regarder comment leur jeu évolue, leur style." Le Maître a encore quelques arguments à leur opposer. Sauf accident, il participera à son douzième Masters consécutif la saison prochaine.

    Source : http://www.eurosport.fr


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    carton

    Sur le site de ventes aux enchères eBay, un produit insolite est venu faire trembler le géant Apple. Et pour cause, ce bout de carton dénommé "un bout de carton (ressemble un peu à un téléphone connu)", a atteint la somme de 150.000 euros avant d’être retiré.

    Sur le fameux site de ventes aux enchères, eBay, un internaute a mis en vente un bout de carton en expliquant pourquoi que son produit était plus utile qu’un iPhone. Apparemment, le monsieur a trouvé les bons arguments puisque les enchères sont montées à plus de 200 000 dollars (plus de 150 000 euros) avant qu’eBay ne réagisse en annulant l’enchère. L’offre était  intitulée "un bout de carton (ressemble un peu à un téléphone connu)".

    Dans son descriptif, le jeune homme expliquait que le carton était en haute définition, sans fil, qu’il n’y avait pas besoin de batterie et que le carton était plus fin que l’iPhone. Rajoutons que ce produit est entièrement biodégradable et recyclable, et voilà peut-être la clé du succès. En tout cas il a fallu que les enchères atteignent des sommes absurdes pour qu’eBay réagissent. Néanmoins, cette réaction trop tardive du site d’enchères en ligne, a incité les gens à mettre en vente des produits dérivés et des imitations du bout de carton. Ainsi, on retrouve d’autres téléphones en carton et autres bouteilles de limonade, toujours en carton.

    Les produits les plus fous d'eBay

    Les annonces farfelues sont devenues un des faits d’armes d’eBay. Les internautes mettent tout et n’importe quoi en vente et cela donne des situations parfois très cocasses. On se souvient que début de ce mois de novembre, un Japonais mettait notre planète en vente après avoir reçu un message divin. En juillet, une femme mettait son âme en vente après un accident de voiture. En 2007, nos voisins belges retrouvaient leur pays en vente sur le net pour un euro symbolique. Les enchères sont rapidement montées jusqu'à 10 millions d’euros avant que l'offre ne soit retirée.

    Dans les annonces complètement loufoques, on retiendra aussi une patte empaillée du bigfoot, un chips au sel en forme de cœur, un plan pour construire une soucoupe volante ou encore le kit du tueur de vampires (ail, eau bénite et pieu en bois). Découvrez les ventes les plus improbables sur eBay dans notre galerie photos.

    Source : http://www.gentside.com


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    Stuxnet

    Le virus informatique Stuxnet qui avait attaqué il y a deux ans le programme nucléaire iranien, a infecté à l'époque le réseau informatique de la compagnie pétrolière Chevron, a indiqué à l'AFP une porte-parole jeudi, confirmant des informations publiées par le Wall Street Journal. 
    « Il y a deux ans nos systèmes de sécurité ont identifié le virus Stuxnet. Nous avons immédiatement fait face au problème sans qu'il ne cause d'incident » informatique, a commenté la porte-parole.

    Victimes collatérales

    Le virus a massivement affecté à l'automne 2010 le programme nucléaire iranien en s'en prenant aux centrifugeuses. Téhéran a accusé Israël et les Etats-Unis d'être à l'origine de ce virus. Le fait que Stuxnet ait infiltré le système informatique de Chevron montre que ce type d'attaque informatique peut faire des victimes collatérales, notamment dans le secteur énergétique d'un pays qui est soupçonné d'être derrière sa conception.

    « Je ne pense pas que le gouvernement américain ait même réalisé à quel point (le virus) s'est propagé », a commenté Mark Koelmel, un responsable de Chevron, interrogé par le Wall Street Journal et cité dans son édition en ligne jeudi. « Je pense que le revers de la médaille de ce qu'ils ont fait est pire que ce qu'ils ont réussi à accomplir », a-t-il ajouté.

    Source : http://www.01net.com


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