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    Quinze jours après la finale de Bâle, Juan Martin Del Potro a dominé une nouvelle fois Roger Federer pour se hisser en demi-finale du Masters, samedi à Londres, en compagnie du Suisse. David Ferrer ne pourra plus doubler l'Argentin, même en cas de victoire sur Janko Tipsarevic samedi soir.

    Juan Martin Del Potro a trouvé la formule. Comme il y a quinze jours en finale de Bâle, l'Argentin a dominé Roger Federer en trois sets (7-6, 4-6, 6-3) pour se qualifier pour les demi-finales du Masters, samedi à Londres, pour la deuxième fois de sa carrière après 2009. Nettement battu par le Suisse en match de poule, David Ferrer ne peut plus passer, même en cas de victoire sur le Serbe Janko Tipsarevic en soirée, car il sera devancé au set-average par Del Potro. Federer sera premier du groupe B et Del Potro deuxième si Ferrer bat Tipsarevic. En cas de victoire du Serbe, Del Potro sera premier et Federer deuxième*. Novak Djokovic et Andy Murray sont les deux autres qualifiés, issus du groupe A.

    L'Argentin a renouvelé sa performance du mois dernier en finale du tournoi de Bâle, où il avait dominé Federer devant son public. Il a bénéficié du fait que le Suisse ne jouait pas sa qualification dans ce match, même s'il est impossible de dire ce qui se serait produit dans le cas contraire et même si le numéro deux mondial n'a à aucun moment donné l'impression de ne pas jouer le jeu. Federer, double tenant du titre, a commis un nombre considérable de fautes directes, 42 au total, dans un match de qualité moyenne des deux côtés, à l'exception de quelques échanges très spectaculaires. Les deux adversaires ont la plupart du temps conservé aisément leur engagement. Del Potro a eu le mérite d'écarter trois des quatre balles de break offertes à son adversaire et de profiter de son unique occasion, au deuxième jeu du dernier set. Dans le jeu décisif de la première manche, il a bénéficié d'une série d'erreurs du Suisse qui s'est retrouvé rapidement mené 6 points à 1.

    C'était la huitième fois que les deux joueurs se rencontraient cette saison. Federer avait gagné les six premiers matches, notamment une fameuse demi-finale aux jeux Olympiques qui s'était terminée sur le score de 19-17 au dernier set. Ferrer pourra se considérer comme malchanceux, car il avait battu Del Potro dans un match de haut niveau, avant d'offrir une belle résistance à Federer qui, ce jour-là, avait assuré sa place dans le dernier carré. Mais comme en 2009, où il s'était qualifié aux dépens d'Andy Murray, Del Potro bénéficie d'un scenario favorable en étant sûr d'avoir un set inscrit de plus que l'Espagnol, quel que soit le résultat de samedi soir. Trois ans après, l'Argentin ne s'est pas perdu en revenant parmi les Maîtres.

    Source : http://www.eurosport.fr


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    Ouvert depuis septembre 2011, Wizbii n’est pas un réseau social professionnel comme les autres. Pour se différencier par rapport à LinkedIn et Viadeo, les trois co-fondateurs Benjamin Ducousso, Emeric Wasson et Romain Gentil ont, dès le départ, dédié leur site aux étudiants et aux jeunes diplômés, tout en l’orientant vers la création d’entreprise. « Les jeunes ne se retrouvent pas sur Viadeo et LinkedIn, qui sont constitués surtout de profils expérimentés. Avec Wizbii, nous voulons créer une communauté qui réponde à leurs attentes. Sur notre site, ils peuvent trouver un job, mais aussi rencontrer des gens de leur âge pour créer des projets », explique Benjamin Ducousso.

     

    450 projets en l’espace d’un an

    Ce mélange de job board et d’esprit start-up semble avoir du succès. A ce jour, Wizbii compte déjà 42 700 membres qui ont donné naissance à 450 projets. Certains d’entre eux ont passé le cap de la création d’entreprise. C’est le cas, par exemple, de Meet My Designer, une plateforme de crowdfunding spécialisée dans le domaine de la mode.Le business model de Wizbii est basé sur le recrutement. Le site propose aux entreprises qui recrutent divers services payants, comme la publication d’offres d’emploi, l’accès à la « profilthèque » ou le développement de l’image de marque (newsletter, mailing, concours,..). Parallèlement, Wizbii propose à ses membres tout en ensemble de fonctionnalités leur permettant, en quelques clics, de trouver des atomes crochus avec d’autres, et de créer un projet d’entreprises, ou simplement de creuser une idée.  

    Un coup de pouce pour démarrer

    Pour soutenir encore davantage l’entrepreneuriat, Wizbii a décidé maintenant qu’il allait reverser 5 % de ses revenus issus du recrutement vers les projets les plus prometteurs de sa plateforme. Un premier jury sera créé en février 2013 pour sélectionner une série de projets. Il sera constitué, entre autres, par des entreprises clientes de Wizbii. Les meilleurs dossiers se partageront alors les gains. « Pour les entreprises qui recrutent sur notre plateforme, c’est une manière de participer à la création d’entreprises, et donc à la création d’emplois. C’est un recrutement responsable », explique Benjamin Ducousso.
    Mais combien d’argent les jeunes pourront-ils espérer récolter ? Wizbii revendique plusieurs centaines de milliers d’euros de chiffre d’affaire pour 2012. Il en résultera donc une cagnotte d’au moins 10 000 euros à partager. Ce n’est pas énorme, mais c’est un bon coup de pouce pour démarrer.
     

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    PUYOL

    Le capitaine du FC Barcelone, Carles Puyol, a repris l'entraînement collectif vendredi, six semaines après s'être luxé le coude lors du match de Ligue des champions à Benfica.

    Le retour de Puyol va donner un peu d'air à l'entraîneur Tito Vilanova qui a aussi été privé plusieurs semaines de l'autre titulaire en défense centrale, Gerard Piqué, touché au pied en septembre.

    Piqué a rejoué quelques minutes mercredi en Ligue des champions face au Celtic Glasgow.

    Le FC Barcelone, leader invaincu de la Liga, se déplace dimanche à Majorque, une équipe qui a perdu ses cinq derniers matches de championnat.

    Source : http://fr.sports.yahoo.com


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    les-gens-intelligents

    Des chercheurs anglais et américains viennent de révéler les résultats d'une étude concernant le lien qu'il y a entre l'intelligence et la consommation d'alcool. Apparemment, plus on est intelligent et plus on boit.

    Selon des chercheurs, la consommation d’alcool serait liée à l’intelligence. En tout cas, il semblerait que les gens dotées d’un plus grands QI boivent plus que les autres. Ce sont en tout cas les conclusions établies à partir de deux études : celle de la National Child Developement Study, une étude anglaise, et celle de la National Longitudinal Study of Adolescent Health, américaine cette fois.

    Cette étude a commencé il y a quelques années. Dans un premier temps, les chercheurs ont travaillé avec des enfants de moins de 16 ans.  Ils les ont classés en cinq catégories : très stupide, stupide, normal, brillant et très brillant. Ensuite les scientifiques ont revu ces enfants pour continuer leur recherche. Les Américains ont attendu 7 ans, tandis que les Anglais ont choisi les dates des 20e, 30 et 40e anniversaires. Ces expériences ont permis d’obtenir le résultat suivant : il semblerait que les enfants les plus intelligents consommaient plus d’alcool une fois devenus adultes. Cette étude a révélé plus précisément que :

    -    Les enfants classé dans les catégories brillant et très brillant consommaient plus d’alcool que ceux classés dans les catégories stupides et très stupides;

    -    Les jeunes issus de l’étude britannique et qui appartenaient à la catégorie très brillant, consommaient près de 80% d’alcool en plus que les très stupides;

    -    Les chercheurs ont obtenu les mêmes résultats en prenant en compte les revenus, la situation amoureuse, l’éducation…

    Le magazine scientifique, Psychology Today, a tenté d’expliquer ce phénomène de manière évolutionnaire. Ils rappellent que l’alcool consommable est une invention qui a plus de 10 000 ans. Nos ancêtres s’étaient probablement déjà rendus compte que lorsqu’ils mangeaient des fruits pourris, ils devenaient plus euphoriques à cause ou grâce à l’éthanol qu’ils contenaient et qui est aujourd’hui la base des boissons alcoolisées. Cette nouvelle boisson évolutionnaire n’était normalement sensée attirer que les personnes les plus intelligentes.

    Attention cependant, augmenter sa consommation d’alcool ne fera pas de vous quelqu’un de plus intelligent que vous ne l’êtes déjà.

    Source : http://www.gentside.com


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    Identifier à l'avance les sujets qui seront les plus populaires sur Twitter, c'est la découverte de Devavrat Shah, chercheur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), dont le nouvel algorithme pourrait s'appliquer à d'autres domaines comme la Bourse, a-t-il déclaré à l'AFP. Devenus un véritable pouls des conversations mondiales, les sujets les plus populaires sur Twitter, également appelés « trending topics » en anglais ou « TT », se présentent sous la forme d'un ou plusieurs mots précédés ou non du signe dièse (ou hashtag).
    Consultable au niveau global, par régions, pays ou même villes, ce classement évolue constamment au gré de l'actualité ou des tendances lancées par des personnes influentes sur les réseaux sociaux. Ainsi, en cette période d'élection présidentielle américaine, « Barack Obama » ou « #USA2012 » figuraient mercredi en tête des mots-clés les plus populaires en France et ailleurs.

    Prédiction 1h30 à l’avance

    Ces mots-clés sont calculés en interne par Twitter en fonction du nombre de personnes qui parlent d'un même sujet à un moment donné sur le réseau social. L'algorithme découvert par Devavrat Shah, professeur d'informatique de 35 ans né en Inde, et son étudiant Stanislav Nikolov, permet de définir ces sujets avec « 1H30 d'avance, en moyenne » et un taux de pertinence de 95%, a-t-il assuré à l'AFP par téléphone.
    A partir d'une base de données de 200 sujets populaires et 200 autres peu relayés à un instant T, l'algorithme compare chaque nouveau sujet et lui attribue un taux de probabilité de devenir populaire, a-t-il expliqué en substance. « La manière dont les êtres humains réagissent obéit à des caractéristiques bien particulières (et) il y a assez peu de façons différentes pour un sujet de devenir populaire sur Twitter », a-t-il souligné.
    « Les sujets peuvent être liés à un événement, comme un concert de Justin Bieber ou l'équipe de France qui bat l'Italie. Mais ils peuvent aussi avoir d'autres origines (et) avoir gagné lentement en popularité avant de devenir une tendance », a poursuivi celui qui présentera sa découverte en public vendredi 9 novembre au MIT, prestigieuse université de recherche scientifique et technologique basée à Cambridge, près de Boston. « Nous avons donc transformé cela en modèle mathématique », a-t-il ajouté, relevant que « les choses simples sont celles qui marchent le mieux ».

    Applicable à tout type de données

    Dans un communiqué, le MIT estime que cette nouvelle approche de l'analyse statistique pourrait, en théorie, s'appliquer à n'importe quel type de données qui varient dans le temps, comme la durée d'un trajet en bus, les ventes d'entrées de cinéma et même le marché boursier. « C'est plus une méthode qu'un algorithme destiné à un seul usage. Les applications sont multiples. Il n'y a rien de concret pour l'instant mais ça promet d'être intéressant », a répondu M. Shah sur une éventuelle utilisation de sa découverte par Twitter.
    A première vue, Sébastien Lefebvre, Pdg et fondateur de Mesagraph, société qui édite des solutions de gestion et d'analyse des médias sociaux, émet quelques réserves. « L'algorithme des trending topics de Twitter, ce n'est pas quelque chose qui est inscrit dans le marbre et auquel on puisse se fier dans la durée. Rien ne dit qu'il n'évoluera pas, comme a évolué celui de Google », a-t-il dit à l'AFP.
     

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