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    Egalement judoka à ses heures perdues, le président de la Russie Vladimir Poutine va recevoir son huitième Dan, un grade élevé du judo.

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, Vladimir Poutine est amateur de judo, mais surtout un adepte. Le président de la Russie, qui était notamment présent lors des derniers Jeux Olympiques de Londres pour soutenir l’équipe nationale, va en effet recevoir son huitième Dan de la part de la Fédération internationale, dont le président Marius Vizer a déclaré : « Le président Poutine représente une haute expression des valeurs du judo dans le monde ».
     

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  • Saisie à Taza de produits de contrebande en provenance de l'Algérie

    Des produits de contrebande
     

    Des produits de contrebande en provenance de l'Algérie ont été saisis récemment par la gendarmerie Royale à Taza.

    Une patrouille relevant du commandement régional de la Gendarmerie Royale à Taza a réussi à saisir des quantités de produits alimentaires de contrebande (120 boîtes de fromage, 46 litres d'huile de table, 10 caisses de dattes, 90 boîtes de lait en poudre pour nourrissons), et plus de neuf mille briquets en provenance d'Algérie, dissimulés dans un véhicule au niveau de l'autoroute à proximité de la ville de Taza, précise une source de la gendarmerie Royale.


    Cette opération s'est soldée par l'arrestation d'une personne qui a été présentée à la police judiciaire pour complément d'enquête.

    Source : http://www.aujourdhui.ma


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    Le groupe américain fait le chemin inverse d'Apple, qui va présenter son iPad mini.

    Quelle est la taille idéale pour une tablette? Les acteurs du secteur ne semblent pas vouloir trancher. Au contraire, la tendance est à la mise en place d'une gamme de produits, avec des tailles différentes, des prix différents, pour s'adresser à tous les segments de marché.

    Ainsi, Google s'est d'abord positionné sur l'entrée de gamme avec sa tabletteNexus 7. Dotée d'un écran de 7 pouces (environ 17 cm) et vendue 199 dollars, cette première version est fabriquée par Asus. Désormais, Google lorgne le haut de gamme avec une nouvelle tablette, la Nexus 10, qui serait produite cette fois par Samsung.

    D'après le site cnet.com, la Nexus 10 serait vendue au prix très élevé de 999 dollars. Un positionnement volontairement très haut de gamme, destiné à venir concurrencer Apple sur son segment de prédilection. Pour Google, ce serait aussi un moyen de renouer avec la rentabilité pour cette activité déficitaire.

    La marque à la pomme aurait déjà préparé sa riposte, en venant attaquer Google sur l'entrée de gamme. Apple serait sur le point de présenter son iPad mini, ou iPad air, qui serait un peu moins onéreux et surtout doté d'un écran plus petit. La firme de Cupertino aurait d'ores et déjà passé commande de 10 millions d'iPad mini auprès de ses sous-traitants, selon le Wall Street Journal. L'annonce est attendue le 17 octobre, pour un lancement le 2 novembre pour profiter des fêtes de fin d'année. Un moyen, pour Apple, de ne pas laisser le champ libre à ses concurrents, qui sont de plus en plus nombreux à bâtir une offre autour de 200 dollars. Le positionnement prix - entre 250 et 300 euros, selon la presse américaine - de l'iPad Mini est d'ailleurs une des principales interrogations du moment, pour les observateurs du secteur.

    Une tablette à 99 dollars

    Il s'agirait toutefois d'un revirement important pour Apple, qui continue de faire cavalier seul sur le haut du marché des tablettes. En effet, Samsung n'a pas réussi à s'imposer avec ses Galaxy Tab alors que l'iPad est devenu un «standard» du marché, en dépit d'un prix relativement élevé: de 399 à 829 dollars (de 409 à 814 euros) selon les versions. À tel point qu'Apple réalise encore plus de 65 % des ventes de tablettes dans le monde, tous segments confondus.

    Pour autant, la concurrence ne renonce pas à attaquer la position d'Apple. Amazon a lancé une offensive sur les tablettes peu chères. Il a réussi à atteindre 18 % de part de marché avec son Kindle en début d'année. Le champion de la distribution s'apprête d'ailleurs à lancer son Kindle Fire en France, à 159 euros. Son concurrent direct, le libraire américain Barnes & Noble débute la commercialisation de ses propres tablettes Nook HD et HD + fin octobre. Elles sont respectivement dotées d'un écran de 7 et 9 pouces et vendues de 199 à 299 dollars. Barnes & Noble a affirmé lundi qu'il a «battu des records de précommandes». Google, qui veut être présent partout, s'apprête aussi à lancer une tablette à 99 dollars… Le groupe assume ainsi de faire le grand écart.

    Source : http://www.lefigaro.fr


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    La chaîne Channel 4 et une société de production ont décidé de mener une expérience inédite (et très chère, 1,5 millions de dollars). Prendre un Boeing 727, le truffer de caméras, de détecteurs et de mannequins de crash test, et l’envoyer s’écraser dans le désert.

    Le but ? Faire de belles images, mais également comprendre comment un avion se comporte pendant un crash, et surtout à quels endroits de l’avion il faut être assis pour avoir davantage de chances de survivre à un impact.

    D’après cette expérience, il vaut mieux être assis à l’arrière. Les chances de survie aux places les plus avancées dans l’appareil – souvent les plus chères – sont quasi-nulles. Le site Popular mechanics était arrivé – en compilant les statistiques de plusieurs crashes célèbres – à la même conclusion.

    Source : http://www.rue89.com


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  • Facebook travaille sur un nouveau bouton "je veux", qui s'afficherait sous les photos de produits de sociétés partenaires. Ce qui ouvrirait de nouveaux horizons pour la monétisation du réseau social.

    Bien qu'il soit cliqué près de 2,7 milliards de fois par jour, Facebook ne se contente plus de son bouton "j'aime". A la recherche de nouvelles sources de revenus, le site a confirmé ce mardi travailler sur la mise en place d'un bouton "je veux" ("want"). Ce qui laisse augurer de nouvelles opportunités.

    Le bouton "je veux", c'est quoi ?

    Facebook franchit une marche supplémentaire vers la création d'une offre d'e-commerce. Dès lors que l'ami d'un utilisateur aimera un produit, il apparaitra sur son fil d'actualité. Au-delà même du simple "j'aime", il pourra opter pour le "je veux", "je collectionne" ou encore acheter le produit en question, Facebook se chargeant alors de renvoyer sur la page de la société partenaire.

    Le bouton "je veux" permettra à l'utilisateur de placer des produits dans une nouvelle section, "la Wishlist" ("liste de souhaits"), une sorte de pré-panier. Le bouton "je collectionne" permettra lui, comme son nom l'indique, de collectionner virtuellement des produits pour les partager sur sa page avec ses amis.

    L'un des porte-parole de Facebook a justifié son projet au blog AllFacebook: "Nous avons vu que les entreprises utilisent souvent les pages pour partager des informations sur leurs produits à travers les albums photo. Aujourd'hui, nous commençons un petit test qui permet à quelques entreprises de partager ces informations via une fonctionnalité appelée collections".

    Le site internet Mashable relève la proximité du concept avec celui du réseau social Pinterest, en ce qu'il mise exclusivement sur les photos. Reste que ce dernier n'a à ce jour pas encore de modèle économique.

    La monétisation, toujours la monétisation

    Cette nouvelle fonctionnalité va dans le sens des profonds changements opérés par Facebook depuis qu'il est entré en bourse, le 18 mai dernier. La société de Mark Zuckerberg vient tout juste de franchir le milliard d'utilisateurs actifs. Sauf qu'il n'a pas su aborder le virage de la mobilité, alors que plus de 600 millions de ses membres se connectent régulièrement via leur smartphone. De quoi inquiéter les investisseurs.

    Sans grand résultat jusqu'à présent, il a donc pris le taureau par les cornes. Il a commencé par revoir entièrement son sytème de vente d'espaces publicitaires. Il a également instauré les statuts payants, afin de leur donner plus de visibilité. Avant de proposer aux membres d'offrir de vrais cadeaux. L'utilisateur choisit un objet parmi "des centaines" de propositions, une carte pour aller avec, et son ami reçoit un aperçu virtuel du cadeau dans sa timeline, avant de le recevoir pour de vrai par la poste.

    Un système encore un peu flou

    Il est encore trop tôt pour savoir comment Facebook tirera précisément profit de ces nouvelles fonctionnalités. Il pourrait tout à fait prélever une partie du prix de la vente, ou alors faire payer les marques pour qu'elles puissent accéder à ces nouveaux services. Pour cette phase de test, Facebook travaille en collaboration avec sept marques de mode et de décoration : Victoria's Secret, Pottery Barn, Michael Kors, Wayfair, Neiman Marcus, Fab.com et Smith Optics.

    Le grand avantage du mécanisme est qu'il peut sans doute plus facilement s'adapter au format mobile. Le partage de photos sur son smartphone sera sans doute mieux perçu par les membres que les publicités traditionnelles, d'autant plus qu'elles seront générées par les "j'aime" et les "je collectionne" de ses amis. Reste qu'il risque d'être un peu difficile de s'y retrouver, entre les "j'aime", "je veux" et autres "je collectionne". Sans oublier le "j'achète".

    Source : http://lexpansion.lexpress.fr


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